Une frappe aérienne américaine vise le chef d'Al-Qaïda au Yémen

Les États-Unis ont effectué une frappe aérienne contre l’un des terroristes les plus puissants d’Al-Qaïda et des responsables ont exprimé sa confiance en sa mort.

Selon le New York Times, des responsables ont déclaré qu’une frappe aérienne de janvier aurait pu tuer Qassim al Rimi, 41 ans, chef de la filiale d’Al-Qaïda au Yémen. Le chef du terrorisme aurait été traqué pendant des mois à l’aide de renseignements et d’une surveillance aérienne.

Les autorités se méfient d’annoncer qu’al Rimi a été tué car d’autres dirigeants d’al-Qaïda et de l’État islamique ont été la cible de frappes aériennes dans le passé et ont survécu. Le Département d’État a une prime de 10 millions de dollars sur la tête de Rimi.

Al Rimi a été impliqué dans un certain nombre de complots terroristes au fil des ans, y compris une attaque de 2008 contre l’ambassade des États-Unis au Yémen. Il a également été lié au complot de 2009 par Umar Farouk Abdulmutallab pour faire tomber un avion de ligne américain utilisant des sous-vêtements doublés d’explosifs.

Selon un responsable connaissant l’opération, la CIA a appris la localisation de Rimi en novembre auprès d’un informateur au Yémen, ce qui lui a permis d’être traqué à l’aide de drones.

La CIA recherchait Qassim al-Rimi.
Le visage d’un terroriste endurci par la doctrine islamiste.
Er de quoi il parlait, très exactement, en 2013, après l’attentat de Boston.
Confirmation de l’élimination du terroriste islamique Qassim al Rimi.
Le côté de la “religion de paix” que nos “grands médias” québécois ne veulent JAMAIS montrer mais qui, pourtant, est tout ce qu’il y a de réel. La menace de l’Islam est réelle et doit être assimilée à ce qu’elle se déclare être, à savoir du terrorisme islamique.

La CIA a refusé de commenter la situation lorsqu’elle a été contactée par le Washington Examiner.

On s’imagine bien que la CIA continue de surveiller la situation pour avoir la certitude d’avoir bel et bien éliminé sa cible alors même s’il devait avoir survécu à cette attaque de drone, ses jours seraient quand même comptés.

Mais bon, puisque peu de terroristes sont reconnus pour être capables de survivre aux attaques de drones, on peut penser qu’il ne fera pas exception.

https://twitter.com/BrandonBeckham_/status/1223608743591460870

La frappe aérienne apparente survient le même mois qu’une frappe de drone américaine qui a tué le commandant militaire iranien Qassem Soleimani. Le général de 62 ans était le chef de la Force Al-Qods, une unité d’opérations spéciales d’élite du Corps des gardiens de la révolution islamique. Il était responsable de la mort de centaines de soldats américains pendant la guerre en Irak.

En octobre, le chef de l’État islamique Abu Bakr al Baghdadi a été tué lors d’une opération top secrète dans la province d’Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie, où il a fait exploser un gilet suicide, se tuant ainsi que ses trois enfants.

Le ménage

Pendant que Justin Trudeau et ses collaborateurs pro-islamiques s’entêtent à accueillir les terroristes “canadiens” de Daesh au pays, après qu’ils aient vraisemblablement commis leur lot d’atrocités sur fond de jihad contre l’Occident, Donald Trump défend le monde libre contre la menace islamiste.

Personne ne sera étonné d’apprendre que le mondialiste (partisan avoue du Canada, en tant qu’État post-national… donc, en tant que pays qui n’en est plus un, selon lui) Justin Trudeau n’a rien mentionné, encore, à propos du terroriste islamiste Qassim al Rimi.

Il le sait, forcément mais en même temps, il évite d’en parler. Probablement parce que ça froisserait sa clientèle Musulmane militante qui, fort probablement, voue une certaine admiration pour ce terroriste qui ne manquait pas une occasion pour menacer les États-Unis et l’Occident. Et les attaquer, pour vrai, ensuite.

Si Justin Trudeau finit par rompre avec son mutisme en regard de cette nouvelle pourtant importante, sera-t-il capable de célébrer la mort de ce terroriste sanguinaire ou essaiera-t-il de le présenter comme une victime, comme il le fait avec les (supposés ex-) combattants de DAESH qui reviennent au Canada, après nous avoir livré une guerre de principe (sur presque TOUS les principes) et de sang? Ça reste à voir mais il va probablement prétendre que des enjeux plus importants ont occupé son agenda (comme la propagation du coronavirus de Wuhan, en Chine).

Bon, assurément que la propagation du coronavirus de Wuhan mérite l’attention du premier ministre canadien mais un petit pour célébrer la mort d’un terroriste islamiste qui voulait la nôtre, ça ne prendrait que 30 secondes et ça permettrait de voir à quelle adresse idéologique loge le premier élu canadien.

Disons que le silence de Justin Trudeau en dit long sur sa vision pro-mondialiste, pro-islamisante et pro-Nations unies du monde.

Rappelons que Justin Trudeau considère George Soros comme son mentor, d’où son obsession de se comporter en “Global Citizen” pour le bénéfice unilatéral de la One Foundation de Soros, véritable outil de propagande mondialiste des Rothschild, piloté par Soros (leur laquais).

Enfin bref, un leader du groupe terroriste islamique violent Al Qaida de moins, ça ne peut qu’être une nouvelle qui résonne avec toute personne qui accorde de la valeur à ses valeurs occidentales.

Partagez ce billet

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.