Faites connaissance avec une femme nommée Yasmine Mohammed.
Aujourd’hui ex-Musulmane, cette Arabo-canadienne (d’origine égyptienne) qui a grandi au Canada n’a pas peur de dénoncer les dérives de l’Islam. Même en vivant au Canada, elle a souffert de l’Islam depuis son jeune âge. Elle habite à Vancouver, en Colombie-Britannique.
Éducatrice, activiste et auteur, elle publie ses réflexions dans un blogue intitulé Confessions d’une ex-Musulmane. Si vous comprenez l’anglais, elle parle de ce qu’elle a vécu dans cette entrevue:
Pour mieux comprendre sa démarche de rejet de l’Islam, dans sa vie, vous pouvez consulter son fil Twitter:
Elle dénonce le voile islamique
Il n’y a pas que les Canadiens et les Québécois qui refusent le voile islamique, comprenant qu’il s’agit d’un outil de contrôle des femmes. Yasmine aussi le dénonce, sous toutes ses formes (foulard, niqab, burqa et autres formes de “prisons portatives“).
Voici un condensé de ce qu’elle explique:
Iranian activist and journalist, Masih Alinejad, has slammed Western women for donning Islamic headscarves, calling them a symbol of inequality and discrimination.
The women’s rights campaigner also went on to say, portraying the hijab as a cultural symbol is an insult to nations like Iran where women have no choice but to cover their heads.
“The female politicians who visit Iran, the tourists, the athletes, the actresses, all of them – when they go to my beautiful country, they say, ‘This is a cultural issue. We wear it out of respect to the culture of Iran.’ Let me be clear with you, calling a discriminatory law part of our culture – this is an insult to a nation.”
The Caldron Pool
Elle a raison de dénoncer le voile islamique.
Et toutes les femmes, qu’elles soient Musulmanes ou non, devraient prêter attention à son message car ça les concerne, au premier chef.
La tyrannie islamique, via le voile
Un certain nombre de Canadiens et de Québécois refusent de voir l’évidence de la tyrannie derrière le symbole imposé du voile islamique.
Grâce au franc parler de Yasmine Mohammed qui, disons-le, tranche avec la rectitude politique ambiante à propos de l’Islam, de ses intentions militantes, en Occident, de ses symboles et du voile, elle contribue à faire évoluer les consciences.
Cette femme courageuse a défié l’Islam et ses dogmes répressifs pour briser ses chaînes et refuser le voile qui pesait bien plus lourd sur elle qu’un simple morceau de tissu.
Le nom de Yasmine Mohammed s’ajoute à une longue liste de Musulmans qui ont quitté l’Islam, devenant du coup des apostats qui risquent leur sécurité (et leur vie… ainsi que celles des membres de leur familles, restée dans un des 56 pays à majorité Musulmane, de par le monde) pour défier ce monstre politico-religieux qui contrôle ses fidèles (souvent “ignorants” des “alternatives”), principalement par la peur.
Écoutez bien son message (en anglais):
Si vous aimez la démarche de Yasmine, vous pouvez l’appuyer dans son projet appelé “Free hearts, free minds” et elle offre du contenu via Patreon, si vous souhaitez l’encourager de cette manière.
Sa page Facebook offre également beaucoup d’information pour dénoncer l’Islam dont elle a réussi à se libérer.
Toujours en anglais, il y a aussi cette entrevue qu’elle a accordé à Seth Andrews que je vous invite à visionner:
Si vous avez accès à Pinterest, Yasmine y publie de très nombreux liens vers des thèmes qui exposent les dérives de l’Islam.