Avant de parler du terme inventé et fallacieux d’islamophobie, il importe de comprendre le contexte où ce terme a été popularisé, au Québec.
Les élus et leurs mensonges
La caste dirigeante et ses marionnette (les “élus”) ont une peur permanente d’être découverts pour ce qu’ils sont, à savoir de vulgaires parasites sociaux et économiques.
Les ténèbres qu’ils entretiennent sont un terreau fertile pour leurs visées égocentriques et socialement contreproductives et ils le savent alors ils rivalisent d’ingéniosité pour multiplier les facteurs de division, en société.
C’est la vieille approche de “diviser pour régner”, à la sauce “islamophobie”.
Les esprits faibles du Québec absorbent le message de l’islamophobie (des Québécois contre les “Islamistes”… ou “Musulmans”) et ils deviennent alors une énorme source de frustration pour ceux qui ont l’intelligence de pouvoir se faire leur propre idée. Et eux, ils voient bien que l’islamophobie n’est qu’un piège pour nous diviser. Alors déjà, la caste dirigeante et ses “élus” se frottent les mains en voyant les plus intelligent s’épuiser à tenter d’insuffler un peu de jugement auprès de leurs concitoyens endormis. Mais c’est peine perdue, ces citoyens endormis servent le jeu des puissants tout en confortant ceux-ci de faire partie du “consensus social” approuvé. Qu’importe que ce consensus soit une pure fabrication. Ces esprits faibles, partisans de la théorie de l’islamophobie se trouvent bien avisés de faire écho au mensonge des puissants, ne comprenant pas qu’ils ne sont que les idiots utile des dirigeants qui leurs rient au visage.
Alors oui, les maître du grand jeu social ont une peur viscérale d’être opposés par une population bien informée et unie alors ils sèment la désinformation tout en divisant les Québécois.
Quand on comprend mieux les élus et leurs mensonges, ça explique leurs comportements toxiques (répétitifs, contre-productifs, régressifs malveillants et insultants).
Les Musulmans
Les premières victimes de l’islamophobie au Québec sont les Musulmans. Mais pas n’importe quels Musulmans. Les quelques 80% de Musulmans qui ne vont JAMAIS dans une Mosquée et qui ne veulent RIEN SAVOIR des Musulmans militants ou extrémistes qui, eux, embrassent leur foi musulmane dans des Mosquées, sans cesse plus nombreuses, en province.
La majorité des Musulmans du Québec savent très bien à quel point les 20% de Musulmans “crinqués” sont des DANGEREUX dont les croyances ont détruit les sociétés d’où ils émigrent. L’Islam étant d’ailleurs la principale raison pour laquelle ils sont rendus au Québec mais une fois arrivés, au lieu de s’adapter à leur société d’accueil occidentale, ils insistent mordicus pour établir le même système de contrôle islamiste qui a détruit leur propre coin du monde!
Les nouveaux arrivants musulmans sont donc trop souvent des partisans de l’utilisation du terme “islamophobie” parce que ça leur permet de passer pour des martyres et de culpabiliser leur société d’accueil, dérivant ainsi des avantages inespérés (économiques et religieux, principalement).
Les Musulmans “de première génération” qui ont fui les régimes de terreur islamistes de leur pays pour venir se réfugier au Québec comprennent mieux que la moyenne des Québécois combien ces “militants extrémistes” de l’Islam veulent nous faire du mal.
En tant que premières victimes de l’islamophobie, les Musulmans qui ne veulent rien savoir de retourner sous la botte dictatoriale de l’Islam militant sont dès lors des alliés naturels pour les Québécois qui comprennent la subversion du terme “islamophobie”.
Ces Musulmans qui ne veulent pas de mosquées et de minarets (ni de Charia islamique) au Québec auraient intérêt à se faire entendre. En ce moment, certains de leurs membres osent parler mais c’est faible, ce qui donne l’impression que “les Musulmans”, c’est un gros “bloc monolithique” alors que ce n’est absolument pas le cas.
Les Québécois endormis
Les esprits faibles qui croient en la véracité du terme “islamophobie” ne font qu’étaler l’étendue de leur naïveté (pour rester poli).
Quelque soit la raison pour laquelle ces Québécois sont endormis, ceux-ci dérivent une certaine satisfaction à se faire les porte-voix du discours officiel, qu’importe qu’ils en soient, eux aussi, des victimes, au premier-chef.
Parce que l’islamophobie, en cherchant à diviser, à empêcher les échanges productifs et à isoler les gens, a pour effet de répandre son venin aussi bien chez ceux qui la célèbrent que ceux qui la dénoncent.
Contre toute attente, ces Québécois endormis continuent de nourrir l’existence de l’islamophobie, même si ça n’a que des effets hautement subversifs, dans leur propre vie.
Les Québécois qui dénoncent le terme inventé et malveillant de l’islamophobie
Pour les millions de Québécois qui voient clair dans le mensonge éhonté de l’islamophobie et sa rivière de manipulations et de crocheries, leur opposition au terme est interprétée comme du “racisme” ou pire, du “racisme systémique”.
Encore une fois, les ennemis de la liberté, du bien commun, du gros bon sens et de la cohésion sociale (notamment plusieurs “élus”), se feront un plaisir de casser du sucre sur le dos des Québécois qui comprennent la menace ÉNORME de laisser un terme comme “islamophobie” passer dans la gorge des Québécois comme une banale lettre à la poste.
Une majorité de Québécois savent que l’islamophobie est un terme inventé qui existe pour épuiser inutilement notre société et briser sa cohésion.
Avec une population faible, la classe dirigeante peut continuer de mentir sans être pointée du doigt et les “nouveaux Musulmans extrémistes” peuvent dériver des avantages inespérés de la majorité dite “silencieuse” qui encaisse les coups sans avoir de représentation digne de ce nom dans les “grands médias”, ajoutant à sa détresse et à sa frustration.
C’est donc de l’ingénierie sociale, à son meilleur. Du point de vue de l’élite corrompue qui profite de l’affaiblissement de notre cohésion sociale et de notre capacité à se prendre en main.
Devant notre relative faiblesse, l’élite jubile en ayant une raison de plus de nous taxer davantage (pour nous épuiser, financièrement… tout en s’enrichissant encore plus, eux) pour nous offrir “leur solution” (par opposition à “la bonne solution”) et donc, ils nous persécutent avec notre argent, nos forces vives et nous dominent en nous culpabilisant.
Avouez que c’est un bon plan, pour l’élite.
Ils ne sont pas embêtés et leurs idiots utiles (les “Québécois endormis” et les “Islamistes militants”) font leur sale boulot de faire vivre le terme de l’islamophobie.
La volonté du peuple
À tous ceux qui s’opposent au terme subversif de l’islamophobie, continuez. Vous prouvez que vous êtes capables de penser par vous-mêmes et que vous refusez les mensonges et la manipulation des classes dirigeantes.
Que vous soyez un Québécois allumé ou un Musulman qui comprend les dangers de l’Islam (et de sa Charia empoisonnée), unissez-vous pour faire un front commun contre les membres de l’élite qui ont peur de vous au point de vous ridiculiser en permanence dans les “grands médias” qu’ils contrôlent. Parce qu’ils cherchent par tous les moyens à vous affaiblir. À vous garder juste bons à payer (les taxes, les impôts et les frais) mais pas pour participer à la “construction sociale”.
Vous êtes la volonté du peuple si vous voyez au travers des jeux pervers des élites contre vous.
Ne vous laissez pas endormir ni amadouer par leur venin idéologique.
Refusez-net le terme d’islamophobie et n’ayez aucun honte à dénoncer, haut et fort, les horreurs de la Charia islamique et de l’Islam:
- violences généralisées;
- châtiments corporels barbares;
- polygamie rampante;
- consanguinité répandue;
- mariages d’enfants;
- abus d’enfants (incluant les abus sexuels);
- zoophilie;
- guerre contre les femmes;
- lapidations (des femmes -et- des hommes);
- mutilations génitales (que Justin Trudeau veut approuver au Canada, notamment l’ablation du clitoris chez les petites filles);
- intolérance des autres religions ou de la laïcité;
- jihad permanent contre “les infidèles”.
Et une très longue suite de raisons (trop nombreuses pour le cadre de ce billet) qui nous confirment que l’Islam n’a tout simplement pas sa place au Québec, en Occident ou même, ailleurs dans le monde.
D’ailleurs, partout où se trouve l’Islam militant (surtout les branches de salafisme et de wahhabisme), on ne trouve que de la misère, des conflits et de la souffrance. Alors pas question de vouloir ça, ici.
Les Québécois voient au travers du jeu de mensonges des sales individus qui utilisent leur position dans les classes dirigeantes pour nous faire du mal mais là, c’est fini, ces bandits sont démasqués et ils doivent être dénoncés pour ce qu’ils sont.
Et non, l’islamophobie ne sera JAMAIS un terme accepté au Québec.