Dire NON au Ritalin et OUI à l’Oméga 3

Ce n’est absolument PAS NORMAL de droguer des enfants, qu’importe le contexte.

Et pourtant, plusieurs parents continuent de se faire piéger par…

  • les psychologues;
  • les psychologues d’école (les pires ennemis des enfants);
  • les psychiatres;
  • les pédopsychiatres; et
  • plusieurs médecins.

…qui voient dans les comportements NORMAUX des enfants, garçons ou filles, un prétexte pour les MÉDICAMENTER. C’est en droguant vos enfants qu’ils font leur argent. S’ils arrivent à “diagnostiquer” un quelconque “trouble mental” chez votre enfant, ils pourront abuser tant qu’ils le veulent de votre carte soleil, tout en droguant légalement votre enfant.

Ces “professionnels”, à part quelques exceptions, veulent se “faire une paie” et pour ce faire, n’hésitent pas un seul instant à cibler votre enfant dès qu’il se comporte… comme un enfant!

Vous voyez, la psychiatrie fait ses frais en “traitant” ses “patients” avec des “drogues”, plus coûteuses les unes que les autres mais toujours aussi nocives pour l’humain.

Au cours de la dernière décennie, le principal “poste de profit” de la psychiatrie est passée de l’adulte à l’enfant.

Après avoir “scrappé” les adultes qui, aujourd’hui, se défendent contre cette industrie de la torture, de la souffrance et de la mort, les “lologues” et les “psychiatres” de tout acabit s’en prennent maintenant aux enfants. Ceux-ci sont souvent incapables de se défendre contre eux et leurs “traitements imposés” et les parents, impressionnés devant les diplômes-bonbon de ces “spécialistes des drogues”, préfèrent “écouter le médecin” que leur propre enfant!

Que ce soit clair, à part une poignée de cas (peut-être une centaine, dans le Québec tout entier), votre enfant est NORMAL mais c’est le motus opérandi de l’industrie psychiatrique d’analyser votre enfant à outrance pour lui trouver au moins une “maladie mentale” grâce à laquelle ils peuvent placer votre petit amour “sous médication”.

Pour les “professionnels” des “troubles de l’enfance et de l’adolescence”, la priorité, c’est de…

  1. Diagnostiquer un “problème” (n’importe quel problème… il faut toujours en trouver au moins un);
  2. Traiter le “problème” avec des “médicaments” (qui sont, dans les faits, des DROGUES archi-payantes);
  3. Garder l’enfant “sous médication” aussi longtemps que possible pour poursuivre le traitement du “problème” (et faire une fortune, au passage).

En tant que parents, vous devez apprendre à DÉFENDRE vos enfants.

Après les avoir laissé dans des CPE dès leur plus tendre enfance, l’État permet aux chimères de la psychiatrie de s’en prendre, en toute impunité, à vos enfants lorsqu’ils intègrent le réseau scolaire.

Pour les psychologues d’école, l’objectif, c’est de piéger votre enfant LE PLUS TÔT possible, pour obtenir les compensations monétaires liées au “traitement”. Il y a des moments où un enfant a besoin de parler à quelqu’un mais ça ne devrait JAMAIS être un psychologue d’école parce que l’objectif de ces “professionnels” c’est de finir, d’une façon ou d’une autre, par droguer les enfants… ou de “consulter” aussi longtemps que possible pour “passer à la caisse” sur une base régulière.

Voici le nom des armes chimiques que les “lologues”, les “pédopsychiatres” et autres utilisent pour lobotomiser chimiquement vos enfants, lorsque vous êtes assez naïfs pour croire à leurs “diagnostics”…

Au Québec, des dizaines de milliers d’enfants se font empoisonner quotidiennement via l’une ou l’autre des variétés de drogues psychiatriques désormais commercialisées en priorité pour eux, notamment…

  • le Ritalin (du “speed”, en fait) — en plus des variantes de Ritalin (Ritalina, Rilatine et Ritalin LA), notez qu’on retrouve aussi le méthylphénidate ou MPH dans différents médicaments, dont les suivants:
    • Concerta LP;
    • Attenta;
    • Metadate;
    • Methylin;
    • Penid; et
    • Rubifen.
  • le Cylert (pémoline);
  • la Dexédrine (sulfate de dexamphétamine, administré à des enfants aussi jeunes que 3 ans… quelle tragédie);
  • le Mellaril (thioridazine);
  • le Catapres (contenant de la clonidine qui est un agoniste des récepteurs adrénergiques de type α2)
  • le Tofranil (antidépresseur imipraminique [tricyclique]);
  • l’Haldol (halopéridol, neuroleptique de la famille des butyrophénones); et
  • la Thorazine (nom générique de la chlorpromazine, un puissant antipsychotique).

Trouvez-vous ça NORMAL d’imposer la prise d’antipsychotiques à des enfants?

Et bien, les “lologues” et leurs complices, eux, trouvent ça très payant et ils n’ont aucun problème de conscience à le faire, aussi souvent que possible, apparemment. Pour eux, les enfants devraient tous être des zombies qui ne parlent pas, qui ne bougent pas et qui obéissent comme de petits soldats. C’est ça, leur vision de la normalité: un enfant drogué jusqu’aux oreilles qui ne “dérange pas” son professeur!

Il y a des parents, aussi bêtes que les “lologues”, apparemment, qui prétendent que leur enfant n’apprend pas bien à l’école s’il ne prend pas “sa médication” — wow! Méchant argument d’imbécile: ne changeons pas l’école, droguons plutôt les enfants. Ça, c’est l’avenir…

Non, mais, ça prend du front tout le tour de la tête pour s’attaquer aux enfants de la sorte!

Il y a tellement de BONS PARENTS qui sont tombés dans le piège des drogues administrées LÉGALEMENT à leurs enfants que c’est triste à en pleurer toutes les larmes de son corps. Imaginez: des parents qui cessent de s’investir pour le bien de leurs enfants et qui, pour toutes sortes de raisons, permettent à un “professionnel” de s’enrichir en les droguant!

Il y a 50 ans, ça aurait été trop “tiré par les cheveux” pour servir de scénario à un film d’horreur et aujourd’hui, des dizaines de milliers d’enfants sont drogués à chaque jour, d’un bout à l’autre du Québec.

La situation n’était pas tolérable pour un seul enfants alors imaginez combien elle est intolérable pour tous ces pauvres enfants qui ne font qu’être eux-mêmes et fidèles à leurs gênes.

L’école moderne est dirigé par les femmes et celles-ci sont généralement allergiques aux “mâles qui bougent” et s’en prennent plus facilement aux petites filles plus actives. Le fait que 5 professeurs sur 6 soient des femmes, au Québec, n’est pas étranger à la montée spectaculaire du recours aux drogues pour “calmer” les enfants.

Les enfants ne sont pas —et n’ont jamais été— le “problème”.

L’école et son attitude féminisée et féminisante étouffe l’enfance et la maternise… à mort.

Plutôt droguer les petits enfants plutôt que de remettre l’horrible “dogme féminisant” en question, c’est ça?

Le pire, c’est que la féminisation extrême des écoles —et des comportements qui y sont admis— affecte autant les garçons que les filles! Même les féministes devraient monter aux barricades…

Un enfant, ça bouge et il faut faire avec. C’est NATUREL pour un jeune de vouloir exploser et aller au bout de ses capacités physiques, qu’importe ce que les “lologues” essaient de vous “vendre”, vous savez désormais que ces vampires ne pensent qu’à diagnostiquer des “troubles mentaux” chez les enfants normaux qui ont besoin de bouger… et de vivre!

L’élite politique qui cherche à dominer une “population docile et obéissante” mutliplie, à la source, les “contrôles” dans les écoles et poursuit, ce faisant, la féminisation à outrance de ces institutions où désormais, les enfants étouffent.

En tant que parents, il faut travailler de concert avec les professeurs et les directions pour changer les écoles et y interdire les drogues, qu’elles proviennent des “souteneurs criminalisés” ou des “pédopsychiatres” (qui ont, eux aussi, leurs “associations”).

Et finalement, le cadeau de la fin: donnez de l’Oméga 3 à vos enfants et vous verrez, vous n’aurez plus besoin de penser aux drogues pour faciliter l’apprentissage, chez votre petit amour. Ça, les “lologues” ne vous en parleront PAS parce que ça leur fait perdre des “clients”! C’est à vous de faire vos devoirs pour réaliser, au fil de vos lectures, que l’Oméga 3 contribue à la santé intégrale et psychologique de votre enfant ainsi qu’à son plein développement.

Aussi, mangez bio — évitez les OGMs et les produits alimentaires lourdement manufacturés parce qu’ils n’ont presque plus de nutriments. Prenez vos vitamines (aussi “fraîches” que possible), vos minéraux et vos oligoéléments. Évitez les contaminants environnementaux et surveiller la qualité de l’air de votre maison. Buvez de l’eau filtrée et entretenez un cadre familial solide qui valorise l’amour, l’entraide, les échanges et le dialogue.

Laissez niaiser les “lologues” dans leur coin et combattez leur propension quasi-automatique à insister pour droguer nos beaux enfants qui veulent bouger et s’amuser.

Nos enfants ont droit à leur enfance et qui plus est, nous avons le devoir de NE JAMAIS LES DROGUER, qu’importe ce qu’en penser les “souteneurs” qui ont des bureaux dans nos écoles (sigh!)…

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4 réponses

  1. Eh oui, nous constatons, à quelques points de détail près, le même massacre en France.

    Une action coordonnée et menée de main de maître… esclavagiste.

    Les gens suivent peu à peu, car ils ont perdu le sens de l’observation et de l’évidence.
    Si tout le monde le fait, alors j’amène mon enfant à l’abattoir de la psychiatrie ; comme les autre ; je ne dois pas penser, les psys pensent pour moi ; ce sont les gourous de la “santé mentale”.

    Une fois que l’enfance est complètement droguée, il est facile d’envisager le futur : dépendance aux psychotropes, et drogues “de la rue” ; construire des déchets humains, tel est exactement ce qui se déroule sous nos yeux.

    Un jour ce sera notre propre enfant si ce n’est déjà fait, et nous porterons sur la conscience toute notre vie la destruction de la vie future de nos enfants.

    Bientôt, nous subirons ce que nous avons laissé faire, un monde d’adultes formés par des enfants drogués aux produits psys et incapable de penser.

    Attendrons-nous qu’il soit trop tard ?

  2. Un article remarquable qui remet en avant cette bonne vieille logique paysanne qui est oubliée: le bon sens!

    Merci à ceux qui ont le courage de mettre le pavé dans la marre…

  3. Bravo pour votre prise de position ! Qu’est-de-que c’est que ces psychologues ui droguent les enfants ? Leur échec les rend dealers. Quel changement de motivation !

  4. Très bon article sur une triste réalité… méconnue et quelque peu cachée par les Mass Media… du moins, pour l’instant.

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