Le pacte pour les migrations n’annonce rien de bon pour les Canadiens

Maintenant adopté, les Nations unies vont se pencher sur les manières d’implémenter le “pacte” que Justin Trudeau a signé, au nom de tous les Canadiens.

Alors que le texte final du pacte n’a encore jamais été rendu public, les Canadiens comprennent que désormais, le Canada s’expose à devoir payer pour toutes les misères migratoires du monde… en tant que nouvelle obligation.

Ce qui à priori est un “pacte” non-contraignant se transforme en obligation à la seconde où les représentants des Nations unies le décident puisque ce pacte est une brèche dans la souveraineté du Canada. Une brèche que Justin Trudeau s’est empressé de signer, malgré l’opposition massive des Canadiens qui, eux, comprennent que le “pacte” est une liste d’épicerie où les Canadiens sont perdants, sur toute la ligne.

Il n’y a rien de bon pour les Canadiens dans le “pacte”, tel que présenté à la  Conférence intergouvernementale pour l’adoption du Pacte mondial sur les migrations qui a eu lieu à Marrakech, au Maroc, les 10 et 11 décembre 2018.

Ce “happening” onusien était présidé par la Montréalaise devenue mondialiste Louise Arbour et c’est insultant de l’entendre traiter tous les détracteurs du “pacte” d’ignorants faisant preuve de mauvaise foi (ses mots). Louise Arbour refuse de dévoiler la version finale du “pacte” et refuse de répondre aux questions des “détracteurs”, se contentant de les insulter… mais il faudrait lui faire confiance?

“Pacte” empoisonné

Dans sa mouture de juillet 2018, le “pacte” ne fait absolument rien pour motiver les pays d’où les gens veulent émigrer (lire: partir) et concentre toute la responsabilité entre les mains des pays qui sont alors pris pour accueillir ces immigrants… avec une note très salée.

Le Canada a déjà ses propres politiques d’immigration et elles sont parmi les plus généreuses du monde mais là, au lieu de motiver les dictatures à développer leurs propres pays, le “pacte” va forcer la main aux pays occidentaux qui devront honorer celui-ci en payant pour quiconque n’a pas d’emploi ou rencontre de la misère dans son pays et veut le fuir.

Le “pacte” ratisse très large et rend le Canada, désormais signataire de celui-ci, responsable de ces désoeuvrés.

Zéro responsabilité pour les dictatures africaines ou asiatiques qui créent une large part de la misère humaine qui engendre les migrations. Non, pour eux, aussi signataires de ce “pacte” (et très heureux de le faire), c’est une occasion de plus de “saigner les pays riches à blanc”.

Le “pacte” est une insulte à tous les niveaux, pour les Canadiens.

Aussi bien pour les Canadiens dits “de souche” que les immigrants des dernières décennies qui vont devoir payer très, très cher pour les dérives des dictateurs qui se servent des Nations unies pour vampiriser économiquement les pays occidentaux, principalement en les culpabilisant pour des problématiques qu’ils n’ont ni créé, ni encouragé.

La rage au coeur

Les Canadiens ne peuvent toujours pas consulter le “pacte” signé par Justin Trudeau mais bien que ce dernier prétente que celui-ci n’est pas contraignant, c’est une parade parce que la prochaine étape, aux Nations unies, c’est justement de préparer l’implémentation de celui-ci.

Comme quoi le piège se referme sur le Canada.

Ce “pacte” nous vole un pan supplémentaire de notre souveraineté canadienne. Cette fois-ci, en matière d’immigration mais aussi, au chapitre de l’aide étrangère canadienne qui va continuer de nous coûter des milliards de dollars annuellement, surtout sous le règne libéral majoritaire de Justin Trudeau qui envoie des sommes astronomiques aux 4 coins du monde, sans aucun accord du peuple canadien.

On se fait vider les poches par Justin Trudeau, en tant que Canadiens menottés par une démocratie qui ne fonctionne absolument pas pour le peuple et ses intérêts.

Au contraire, Justin Trudeau a George Soros comme mentor (de sa propre admission). Soros est un mondialiste avoué, via sa “Open Society” d’où il administre son programme “Global Citizen” où il travaille à éliminer les frontières.

Sous les conseils de Soros, le Canada doit s’appauvrir jusqu’à disparaître pour enrichir tous les migrants du monde.

Justin Trudeau endette les Canadiens aussi rapidement qu’il le peut et ce, pour le bénéfice unilatéral des étrangers et des banquiers qui vont ensuite pouvoir nous voler, légalement, avec leur jeu des intérêts, pendant des générations entières qui auront été endettées contre leur gré et pour de très, très mauvaises raisons.

En jouant sur notre prétendue culpabilité, Soros veut qu’on importe le Tiers-monde au Canada. Ceci nous transformera en ce Tiers-monde que Soros veut qu’on paie pour “aider”. Et donc, au final, nous périrons comme ces migrants qui pèseront trop lourd dans notre chaloupe.

Soros aura tué le Canada et il trouvera un emploi bien payant à Justin Trudeau et à ses complices, les idiots utiles du mondialisme, dans une nouvelle structure de contrôle illégitime et étranger qu’il aura créé, avec notre argent et nos ressources.

Guerre contre l’Occident

Le “pacte” est un autre pan de la guerre ouverte contre l’Occident.

Les mondialistes veulent couler l’Occident en lui imposant le poids de toutes les misères du monde, sur les épaules.

Cette fois-ci, avec le “pacte”, c’est le poids des désoeuvrés qui souhaitent quitter leur propre pays pour venir ici.

C’est là un plan perdant, pour les Canadiens.

Notre immigration devrait demeurer un processus unilatéralement national faisant l’objet de débats internes. Les Nations unies viennent imposer une vision mondialiste subversive en jouant sur un sentiment de culpabilité qu’entretient une large part de notre classe politique et ce, de manière hautement malveillante puisqu’il s’agit-là d’une fiction qu’ils “vendent” à des Canadiens qui, rappelons-le, n’ont rien à se reprocher.

Le Canada est frappé de plein fouet par ce “pacte” et ce n’est absolument pas fini parce que ce torchon onusien fait partie d’un plan plus vaste, celui d’une guerre économique, sociale et migratoire contre les Canadiens et plus généralement, contre les Occidentaux.

Le jihad islamique contre l’Occident s’articule à partir des 57 pays dirigés par la religion musulmane. 

Le Canada est une cible, tout comme l’Europe et les États-Unis.

Pour nous transformer en Califat canadien sous contrôle de la Charia (la loi islamique qui justement, créé la misère la plus abjecte partout où elle est imposée, par la force ou la coercition), ces pays musulmans financent des mosquées en terre canadienne.

Comme des casernes militaires, ces mosquées répandent une idéologie malsaine qui place un ami imaginaire au-dessus de toutes les autres considérations, incluant l’idée du “vivre ensemble” canadien et québécois.

Une petite liste pratique pour ceux qui auraient “envie d’oublier” tout ce que la Charia islamique permet déjà. C’est là où va le Canada qui deviendra un Califat islamique canadien, si nous ne prenons pas immédiatement des mesures claires pour interdire toute variante de la Charia, au Canada. Et ce n’est pas Justin Trudeau qui va nous aider.

Pourquoi parler de l’invasion islamique de l’Occident au moment de dénoncer le “pacte”? Parce que le premier va profiter du deuxième pour accélérer son remplacement des Occidentaux.

Parce que les Canadiens financent, en ce moment, le remplacement de leur culture par la Charia islamique.

Les femmes musulmanes utilisent les généreux subsides gouvernementaux pour multiplier leur progéniture islamique, aux dépens des Occidentaux qui, eux, majoritairement, doivent s’épuiser à travailler pour financer leur “grand remplacement”, via les ventres féconds des Musulmanes.

Oui, le Califat canadien gagne du terrain et Justin Trudeau a choisi son camp, celui du “Global Citizen” au lieu du “Canadian Citizen”.

Si vous ne voyez toujours pas comment le “pacte” menace notre existence, c’est que vous le faites exprès.

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