Jean-Michel Dominique

Le narratif d’État du COVID-19 dénoncé

À Montréal, au Québec, au Canada et ailleurs dans le monde sous influence parasitaire mondialiste, le COVID-19 est devenu l’outil de choix pour induire la peur afin de contrôler les populations.

Comme le dirait la vice-première ministre du Québec, Geneviève Guilbault, pour garder les Québécois “dociles”.

Le narratif d’État du COVID-19 est une insulte à l’intelligence tant les mensonges, les demi-vérités et le brouillage anti-vérités contribuent à maintenir une importante proportion des populations dans la peur.

La peur de l’invisible. Du COVID-19 qui n’en finit plus de mener à la limitation ou la suppression de ce qu’il nous reste de libertés.

Refuser la peur

À l’instar de Jean-Dominique Michel, maître en sciences, anthropologue de la santé et expert en santé publique, basé à Genève, des centaines de milliers de Québécois refusent la peur.

Cette peur manufacturée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ensuite “docilement” relayée par les complices locaux, incluant François Legault, Horacio Arruda et Geneviève Guilbault, sert à maintenir la population dans la peur et ainsi, la contrôler.

Le Québec n’a pris que quelques semaines pour devenir une prison, visible à l’oeil nu.

Une prison médicale. Sous influence mondialiste.

Le Québec est parasité par des ennemis qui amplifient sans fin un scénario qu’ils s’empressent de qualifier de “pandémie” afin de soumettre encore plus rapidement quiconque voudrait user de son esprit critique.

Alors, on l’a vu au Québec, les moutons se sont soumis “docilement” depuis au moins le 13 mars 2020, à la demande d’Horacio “Tartelettes portugaises” Arruda, le clown-collabo de l’OMS (et de l’ONU, avec son “Agenda 21”, dont il porte continuellement la “pin” à son veston, principalement pour se moquer du peuple québécois).

Après quelques 60 jours (et plus) de confinement dit “volontaire”, période pendant laquelle tous les gouvernements ont limité ou supprimé des pans entiers des libertés civiles pour une pseudo-pandémie qu’ils alimentent avec leurs complices des “grands médias” (ennemis du peuple), un nombre grandissant de Québécois prend acte du rapt qui vient d’avoir lieu, contre eux.

Et c’est exactement là qu’un homme comme Jean-Dominique Michel doit être écouté, très attentivement:

Voici quelques extraits de ce que Jean-Michel Dominique explique:

“Je ne sais pas si nos gouvernants ont la moindre idée du dépit et de l’indignation qu’ils sont en train de provoquer au sein d’une population qui ne demandait qu’à les suivre et à leur faire confiance. 

Hélas! à force de compromissions, de désinformation, de contre-vérités et de propagande, ils sont en train de rompre ce contrat de confiance. 

La crise du Covid fait apparaître les multiples dérives structurelles, intellectuelles et éthiques qui ont pris corps dans la réalité sanitaire depuis bien longtemps. Et ont présidé à leurs prises de décision erronées. Avec pour conséquence d’avoir transformé ce qui devait être une banale épidémie en véritable crise sanitaire. 

Avec des centaines de morts évitables au passage. Triste. Et bien tabou encore comme constat dans notre verte Helvétie semble-t-il… Plus pour longtemps: la vérité finit toujours par être révélée.

Comme je l’ai abondamment souligné (leur silence parle), les médecins de ville, privés du droit de soigner le Covid avec le seul traitement efficace connu (adopté dans une quarantaine de pays qui tous ont une mortalité inférieure à la nôtre, dont la Corée du Sud, second pays à l’avoir adopté) se taisent. 

Malgré la violation inique de leurs droits, garantis par les lois sur la santé Violation à laquelle nos gouvernants ne semble même pas comprendre qu’il puisse y avoir quelque chose à redire…”

La propagande d’État

Même si l’OMS fabrique la propagande, les États sous influence (lire: ouvertement complices et ennemis de leur propre peuple) reprennent celle-ci et l’implémentent, localement.

Pour le citoyen lambda, cette propagande devient donc celle de “son” État.

Ça aide à faire accepter la propagande que de prétendre qu’elle émane d’éminences locales mais voilà, un simple tour d’horizon, à travers le monde et le constat d’un orchestre liberticide à l’oeuvre, saute aux yeux. Le tout sous la lourde botte totalitaire de l’OMS qui, elle-même, obéit à des groupes privés qui financent quelques 80% de ses “activités”. On parle, entre autre, de la Fondation de Bill et Mélinda Gates qui grâce à l’agenda pro-vaccination obsessif et malveillant, a environ doublé la valeur du fonds de sa fondation, la faisant passer de 50 à 100 milliards de dollar. À quelques milliards près, selon la sources des chiffres mais on comprend que l’OMS est une vache à lait pour le vaccinateur-en-chef du monde: Bill Gates.

Il ne faut donc pas se surprendre que la seule et unique façon de sortir de l’entonnoir totalitaire et libertiticide dans laquelle les ennemis des Québécois les ont sciemment placés (criminellement, d’ailleurs puisque sous de FAUX prétextes, à commencer par les statistiques frauduleuses), pour Bill Gates, l’OMS et tous ses complices, c’est le vaccin.

Personne ne sait quel vaccin mais il ne faudra surtout pas perdre de temps à le tester parce qu’il faudra l’injecter, au plus vite.

De force, si nécessaire. Advenant que les moutons posent trop de questions, la police, protectrice par excellence des ennemis du Québec, viendra de porte en porte pour enlever et isoler toute personne qui refuse cette vaccination assurément neurotoxique (comme toutes les autres). C’est d’ailleurs le plan de Mike Ryan, de l’OMS qui entendre enlever les malades de leurs maisons pour ensuite les isoler. Incluant les enfants.

Commencez-vous à comprendre?

Et ce vaccin, absolument essentiel pour l’eugéniste avoué Bill Gates, n’est qu’un jalon d’un liste de mesures de contrôles de plus en plus étouffants.

Le puçage aussi fait partie de cette matrice de contrôle inhumaine.

Bill Gates se dévoile chaque jour un peu plus, en tant qu’ennemi de l’humanité, sous couvert de (faux) philanthrope qui prétendent (faussement) éliminer des maladies, à coup de vaccinations massives. Vaccinations payées par des pays riches et (largement) imposées aux populations des pays les plus pauvres.

Alors si un Genevois comme Jean-Michel Dominique peut contribuer à réveiller des Québécois, c’est un pas dans la bonne direction afin que l’esprit critique reprenne sa place au lieu de la propagande qui détruit notre vie.


Olga Sheean vous explique la dissimulation de l’OMS, avec des exemple concrets et une contextualisation sans équivoque:

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