Le carbone est essentiel à la vie

Pris d’assaut par des “grands médias” largement corrompus et vendus aux intérêts du nouvel ordre mondial, de nombreux Québécois croient, à tort, que le carbone —ou CO2— est notre “ennemi numéro un”, en ce moment, au plan environnemental.

Rien ne pourrait être plus faux!

Il y a quatre éléments absolument essentiels à la vie sur cette Terre:

  1. le soleil;
  2. l’eau;
  3. l’oxygène; et
  4. le carbone.

Pour faire simple, le carbone —présent en toute petite quantité dans chaque litre d’air— permet aux plantes de vivre, un peu comme pour nous, êtres humains, qui respirons l’oxygène également contenu dans l’air qui nous entoure.

Au moment de publier cet article, un très grand nombre de pays n’entretiennent aucune mesure officielle de leur taux de carbone bien que ce chiffre puisse être évalué, vu la nature “globale” de notre atmosphère. Qui plus est, plusieurs pays qui prennent des mesures de CO2 ne les publient pas alors il faut se rabattre sur les mesures publiées qui disent que nous avons quelques 370 parties par million de carbone, dans l’air.

Pour donner un point de comparaison, c’est moins que les 400 ppm de Paris, en 1875 alors que des millions de Français brûlaient du bois pour leurs activités quotidiennes et pour se réchauffer (plus qu’en Chine, aujourd’hui, d’ailleurs).

Vouloir combattre le CO2 est un petit jeu dangereux car moins il y en a et moins notre nature, dans son ensemble, sera florissante et diversifiée — et en mesure de nous retourner de l’oxygène!

Lorsqu’on voit les tenants du nouvel ordre mondial nous imposer une taxe mondiale sur le carbone, on comprend vite que l’arnaque, à priori financière, pourrait nous plonger dans une situation environnementale beaucoup plus préoccupante que celle d’aujourd’hui. De nombreuses personnes oublient d’ailleurs que l’effet de serre est NÉCESSAIRE à la vie, sur notre planète. À vouloir trop le “combattre”, on risque gros.

C’est clair que le but d’une conférence comme Copenhague 2009, c’est d’arriver à former un gouvernement mondial, idéalement centralisé à Londres où sont installés les pires bandits de la Terre, soit les banquiers du nouvel ordre mondial. Leur visée ultime de domination planétaire passe par une variété sans fin de taxes sur les flux de capitaux, de ressources, de mouvements de personnes et bien sûr, sur le carbone que chaque humain expire.

Taxer le carbone, c’est taxer la vie humaine et la vie, en général.

C’est éhontément odieux et éminemment illégitime. Les Nations unies s’arrangent pour tordre les faits afin de légitimiser cette épouvantable taxable sur tous les êtres humains mais il n’en demeure pas moins qu’il s’agit d’un volet fort subversif de l’agenda de “tyrannie graduée” du nouvel ordre mondial — le pouvoir sombre qui nous maintient artificiellement dans notre relative médiocrité.

Les forces vives du Québec et du Canada doivent rejoindre celles du monde entier pour protéger le CO2 dans l’air tout en luttant contre les centaines de milliers de polluants chimiques, pour la plupart inventés de toutes pièces sans égard à leur capacité à se biodégrader après usage, d’où la réelle hécatombe environnementale dont, sans grande surprise, aucun “grand média” ne parle.

Et pour ceux qui n’auraient pas encore été mis au courant, Al Gore est un MENTEUR et ceux qui lui mettent les mots dans la bouche ont, presque tous, des intérêts déclarés dans divers “projets verts” comme des centrales nucléaires ou encore, des “technologies propres” qui, au fond, ne règlent rien à notre grand défi de nettoyage de l’environnement.

Il nous faut des idées vraiment efficaces pour nettoyer notre planète, comme repousser nos déserts qui gagnent sans cesse du terrain parce que nous sommes trop occupés à s’entretuer pour contrôler les ressources, à travers le monde.

En plantant d’immenses zones de végétation dans les déserts, nous pourrions capter d’immenses quantités de carbone produit par les activités humaines et ainsi, contribuer à l’équilibre essentiel à la vie puisque les plantes, en retour nous fournissent de l’oxygène.

C’est un cycle qu’il nous faut comprendre et préserver au lieu de se laisser endormir par les Steven Guilbault de ce monde qui reçoivent beaucoup de visibilité (surtout à Radio-Canada) parce qu’ils AIDENT l’avancée du plan tyrannique du nouvel ordre mondial.

Amis québécois, vous devez apprendre à lire entre les lignes.

L’attaque sans précédent contre le carbone a tout à voir avec l’implantation de nouvelles taxes mais ça n’a rien à voir avec l’environnement ou encore, très peu.

Votre avenir et celui de l’humanité réside dans notre capacité individuelle et collective à tendre vers l’équilibre naturel des choses et en ce sens, il ne faut pas bêtement s’attaquer au carbone car, ce faisant, nous allons livrer la guerre contre la vie, rien de moins.

Le carbone doit être déclaré essentiel à la vie.

Des milliards d’humains se font “conditionner” à l’idée que le carbone est notre ennemi et c’est épouvantable de voir que cette propagande anti-humaniste fonctionne aussi bien auprès des gens trop pressés pour se demander ce qui motive tous les “grands médias” de notre monde à se liguer, tout-à-coup, contre le carbone qui, rappelons-le, demeure essentiel à la vie.

Il est de notre devoir le plus strict de défendre notre environnement sans mettre en péril le CO2 présent dans l’air car celui-ci doit servir à la flore afin qu’elle puisse, en retour, nous fournir notre oxygène.

Les humains peuvent vivre davantage en harmonie avec la nature sans devoir tourner le dos à nos avancées modernes. Il suffit de voir plus loin que l’obscurantisme industriel maintenu via des “brevets empoisonnés” et des “droits qui n’en sont pas” via lesquels une sélection de transnationales (détenues par les banquiers du nouvel ordre mondial) nous empêchent d’utiliser notre savoir pour le bien commun tant ils profitent de notre misérable dépendance aux “méthodes sales et largement inefficaces” qui font la fortune de ces industrialistes particulièrement malveillants.

Notre société doit revenir à une échelle plus humaine.

Il faut dire non aux schèmes de “gouvernance mondiale” parce que ça va nous confirmer dans ce qu’il y a de pire, comme orientation sociale, en ce moment. En remettant à des non-élus notre destinée, nous perdons à la fois nos libertés et nos droits puisque nous ne sommes plus représentés.

L’ONU, l’OMS, la Banque mondiale, le FMI et tant d’autres organismes dit “internationaux” ont un impact direct dans nos vies (locales) et pourtant, aucun d’entre-nous n’a la prétention de pouvoir orienter leurs décisions ou encore, les forcer à favoriser les gens plutôt que les banquiers du nouvel ordre mondial (qui sont TOUJOURS les grands gagnants, grâce à ces organisations).

Ensemble, nous devons redonner ses lettres de noblesse au carbone et savoir faire la différence entre ce gaz et les centaines de milliers de contaminants et polluants invasifs qui empoisonnent nos écosystèmes. Dans un tel contexte, taxer le carbone revient à commettre un crime contre l’humanité, toute entière.

Si nous devons absolument livrer des combats, menons une guerre sans merci contre les mécanismes de contrôle social qui nous maintiennent dans cet inconfortable position de dépendance à ce que nous “offrent” des transnationales sans vision et n’ayant aucun intérêt pour le bien commun. Il y a moyen de faire les choses autrement et la recherche de l’équilibre dans tout ce que nous faisons nous rapprochera de notre pleine réalisation, en tant que personne et en tant que société moderne et évoluée.

Taxer le carbone n’amènera RIEN de bon à l’humanité (à part l’enrichissement unilatéral des banquiers).

Séquestrer d’immenses quantités de carbone n’aidera pas, non-plus, à maintenir l’équilibre dans le cycle de la vie puisque cette approche brise et met en danger ce cycle si fragile.

Comme il s’agit de NOTRE PLANÈTE, il faut se comporter en propriétaires et dire NON à ceux qui veulent assouvir des objectifs personnel ou socialement contre-productifs, en utilisant la peur du carbone comme vecteur de mouvances et de changements sociaux.

Le carbone, si l’on regarde de plus près, nous rend des services qu’il serait très mal avisé de dénigrer.

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2 Responses

  1. c’est un des arguments les plus ridicule que j’ai lu sur le sujet. La concentration de CO2 est directement corrélé avec la température de la planète. Les personnes qui ne sont pas d’accord avec ça ont habituellement AUCUNE connaissance dans la climatologie et autre science. Ils n’ont que des opinions sans aucune valeur.

    Alors taxer le CO2 n’est pas taxer la vie, c’est plutôt moduler notre utilisation des carburants fossile pour permettre à la vie de continuer.

  2. Merci pour votre commentaire, M. Robert.

    Vous mélangez —comme le font les “experts” du GIEC— les variations de température et celles de la concentration (mesurée ou estimée) du CO2.

    C’est clair que si le rayonnement du soleil augmente et qu’en conséquence, notre vaste territoire de pergélisol canadien se met à fondre, en libérant des milliards de tonnes de carbone, ça donne l’impression d’une corrélation entre la température et le niveau de carbone mais dans ce modèle, on aurait beau taxer les humains pour leurs émissions de carbone que ça ne changerait presque rien, au final.

    À propos du mécanisme de taxation qu’implémente actuellement le nouvel ordre mondial, soyez sans crainte, vous allez y goûter, vous aussi, M. Robert.

    Taxer la vie, via une taxation illégitime, régressive et oppressive sur le carbone ne fera pas avancer l’humanité mais en revanche, ça enrichira l’élite qui mène présentement ce monde à sa perte en le polluant de dizaines de milliers de nouvelles molécules chimiques isolées et non-compatibles avec nos écosystèmes — ça, comme Steven Guilbault, vous préférez ne pas en parler.

    Pour vous, tous les torts du monde reviennent au carbone et c’est là l’essence du mensonge qui est perpétré par le GIEC afin de fournir les arguments nécessaires pour justifier la taxation du carbone, par une entité “mondiale” (comme l’ONU).

    Bien que je ne sois pas climatologue, je suis un citoyen informé qui prends le temps de lire les rapports de part et d’autres des enjeux et c’est la raison pour laquelle je suis très à l’aise pour émettre mon opinion sur des sujets que vous semblez vouloir réserver à l’élite et aussi, à votre propre personne.

    Vous parlez aussi de moduler l’utilisation des carburants fossiles mais là encore, vous êtes dans le champ.

    Comme des milliards de personnes, je suis outré de voir que des “brevets” empêchent l’humanité d’utiliser une large gamme de technologies propres parce que l’élite, qui détient ces droits, profite éhontément de l’état moyen-âgeux de notre monde (en comparaison à ce qu’il pourrait être).

    Du reste, ce n’est pas le carbone (CO2) qui sort de nos pots d’échappement d’automobiles qui cause problème (puisque la flore s’occupe de le transformer en oxygène) mais bien les centaines de composés toxiques qui accompagnent le CO2 émis et qui nuisent à notre santé, polluent notre environnement et ne se biodégradent pas.

    Ne sous-estimez pas l’agenda tyrannique de taxation, de domination et de contrôle intégral de nos vies par le nouvel ordre mondial. Il s’agit d’un plan calculé de longue date et il vous appartient de faire vos recherches pour mieux comprendre les instruments qu’ils utilisent pour nous asservir.

    La taxation du carbone, malgré votre argumentaire boîteux, demeure une abomination qu’il faut combattre afin de s’attaquer à l’omerta scientifique sur l’accès plein et entier aux technologies propres qui règleraient, une fois pour toutes, les problèmes de cohabitation de l’homme et de son environnement.

    Je salue votre intérêt pour la climatologie, M. Robert mais votre vision des choses demeure partielle et il vous appartient de continuer vos recherches afin de mieux comprendre l’importance stratégique inestimable du carbone, sur Terre.

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