Il existe une relation malsaine entre le gouvernement du Canada, l’Open Society de George Soros et le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés.
Richard Le Hir, récemment décédé, avait bien saisi la nature profondément malsaine entre “les amis” George Soros et l’actuel premier ministre canadien, Justin Trudeau.
Il avait écrit:
L’arrivée soudaine des réfugiés aux portes du Québec n’est pas fortuite. Elle est le fruit d’une planification orchestrée depuis plusieurs mois par le gouvernement Trudeau et la fondation Open Society du milliardaire George Soros, connu pour son activisme politique sur la scène internationale et son soutien aux initiatives de déstabilisation et de renversement des gouvernements qui ont le malheur de lui déplaire, y compris le gouvernement actuel des États-Unis.
George Soros, via sa “Open Society”, veut éliminer les frontières et les nations à la faveur de l’émergence des “Global Citizens”, ces “citoyens du monde”. Justin Trudeau adhère ouvertement à cette vision du monde. Il n’hésite d’ailleurs pas à se qualifier, lui-même, de “Global Citizen“.
Alors que les intérêts des Canadiens devraient être la toute première priorité du premier ministre canadien, Justin Trudeau ne rate que peu d’occasions de se déguiser en “citoyen du monde” pour livrer une image concrète du rêve porté par l’Open Society.
Toutes ces images et des centaines d’autres (que vous trouverez facilement dans le web) sont directement liées à l’agenda de George Soros de transformer les “citoyens” en “citoyens du monde”.
En se déguisant continuellement pour se “conformer” à n’importe quelle culture, Justin Trudeau vise à banaliser celles-ci. Comme pour montrer qu’au fond, n’importe qui peut s’improviser membre de n’importe quelle culture, devenant ainsi du “citoyen du monde”.
Pourquoi alors notre monde aurait-il des frontières? Surtout si à l’instar de Justin Trudeau (et de l’idéologie anti-nationaliste de George Soros), tout le monde se transforme en “citoyen du monde”!
Tout ça au moment où le Canada doit recevoir un nombre inédit d’immigrants (plus de 320,000, du 1er juillet 2015 au 30 juin 2016) dont une proportion importante sont des réfugiés (23,523 réfugiés pris en charge pour le gouvernement, en 2016 mais 58,435 avec les parrainages) qui, soyons francs, ne comprennent trop souvent que peu de chose à propos du fait canadien. Encore moins à propos de la culture canadienne ou encore, des particularités provinciales et régionales.
Ajoutez à ces chiffres les quelques 27,000 migrants qui sont entrés de manière illégale (ou “irrégulière”) via le chemin Roxham, au Québec, à l’été de 2018 et le chiffre avancé de 50,000 immigrants illégaux qui se cachent à Montréal (sans compter ceux dans les autres grandes villes du pays) et vous voyez qu’on a un… réel problème, au chapitre de l’immigration. Aussi bien en regard du nombre que de la “qualité” des immigrants mais dans un monde adhérent à la doctrine du “Global Citizen”, tout le monde est réputé égal et les frontières sont des lignes imaginaires qu’il faut abolir.
Conséquence de ce laxisme pro-immigration “à pleines portes”? Les Canadiens, incluant les immigrants bien intégrés des précédentes décennies, doivent payer quelques 20 milliards de dollars par année pour financer l’arrivée massive d’étrangers, ici. Du pur délire qui contribue à nous ruiner. Et Justin Trudeau qui s’en réjouit. George Soros aussi d’ailleurs. Pendant que les Canadiens paient, Trudeau et Soros célèbrent… à nos dépens.
C’est en ce sens que la filière pro-réfugiés du duo Trudeau-Soros pose un réel danger, pour les Canadiens.
Des millions de Canadiens voient clair dans le jeu de l’immigration massive prôné (et exécuté) par Justin Trudeau.
Pour George Soros, l’élimination graduelle de la culture canadienne par une “culture globale” n’a que des avantages… pour l’Establishment dont il fait partie.
Par exemple, les coûts astronomiques imposés aux Canadiens forcent nos gouvernements à s’endetter auprès des banquiers (de l’Establishment), ce qui s’avère extrêmement payant, pour eux.
Autre exemple, la pression à la baisse sur les salaires des Canadiens alors que des centaines de milliers de “nouveaux arrivants” sont prêts à travailler à des salaires de misère. C’est doublement mauvais, aussi bien pour les travailleurs canadiens que pour pour les nouveaux arrivants. Dans les deux cas, le patronat s’en met plein les poches en maintenant les salaires aussi bas que possible et surtout, en évitant de devoir ajuster annuellement les salaires à l’inflation.
Et il n’y a pas que l’aspect économique de notre vie qui soit attaqué de manière subversive par le plan Trudeau-Soros, il y a aussi notre cohésion sociale qui est minée. Le multiculturalisme n’a JAMAIS fonctionné, nulle part, dans le monde et là, Justin Trudeau continue ce plan malveillant… contre les Canadiens. Au diable la cohésion sociale! Il faut recréer ici l’essence des pays que les nouveaux arrivants ont fui plutôt que de leur donner une occasion de s’intégrer pleinement à notre mode de vie occidental.
Les Canadiens ont un pays.
Il faudrait que le premier ministre du Canada se comporte en conséquence au lieu de miner l’importance de notre propre culture en la noyant dans une rivière de cultures étrangères qui, elles, sont presque toujours défendues par leur leader.
Mais espérer de Justin Trudeau qu’il défende les intérêts des Canadiens, c’est comme espérer que George Soros arrête de s’attaquer aux nations, ça n’arrivera vraisemblablement jamais… à moins que le contexte change et que là, ça serve un de leurs intérêts.
Plus que jamais, il faut demeurer vigilants face au duo Trudeau-Soros qui continue son agenda mondialiste, sur le dos de notre propre nationalisme qui graduellement, s’efface.
Comme notre propre population, d’ailleurs. Elle s’efface inexorablement, elle aussi. Plus de pays, plus de culture et aucune “terre d’attache”… l’homme libre et prospère devient un esclave servile et obéissant, sans terre, sans moyens et à la merci de ses maîtres mondialistes qui auront créé un grand système de contrôle, sans les protections propres à chaque pays puisque ces pays auront remis des segments importants de leur souveraineté aux Nations-Unies où les mondialistes règnent en rois et maîtres.
C’est donc un autre chapitre de l’avidité humaine pour l’argent et le pouvoir.
Ce chapitre se joue partout dans le monde. C’est l’invasion de l’Occident par le “tiers-monde profond” et la destruction de la culture dominante pour faire croître des “citoyens sans patrie”.
Est-ce que c’est vraiment qu’on veut, nous?
Plus que jamais, les Canadiens ont besoin de défendre LEUR pays, pas de sauver tous ceux qui veulent venir implanter ici leur pays (qu’ils ont quitté ou fui).
Notre futur, en tant que Canadiens, sera la suite logique de nos choix actuels.
Ce billet continuera d’être bonifié mais prenez quelques minutes pour consulter les hyperliens qui suivent.
Sources:
Gouvernement du Canada
- Le Canada, le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés et les Fondations Open Society s’emploient à accroître la réinstallation de réfugiés au moyen de parrainages privés
- Présenter une demande d’asile depuis le Canada, apprendre comment venir au Canada en tant que réfugié, parrainer un réfugié ou trouver des services offerts aux réfugiés au Canada
- Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada Plan ministériel 2018-2019
Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR)
George Soros
- Les fondations Open Society et George Soros
- Remarks delivered at the European Council on Foreign Relations
The Open Society Foundations (OSF), founded by liberal financier George Soros, is a network of more than 20 national and regional foundations making it one of the largest political philanthropies in the world.
Built on Soros’ anti-capitalist redistributionist political philosophies, the organization gives away nearly a billion dollars per year to left-wing organizations around the world.
OSF is the successor to the Open Society Institute (OSI), a Soros philanthropy that was folded into OSF.