Connaissez-vous un adulte atteint d’autisme?

Vous aurez beau les chercher, les adultes autistiques sont à toutes fins pratiques introuvables.

Pourquoi en est-il ainsi?

Parce que la montée de l’autisme correspond, depuis les 30 dernières années, à la monté du recours systématique aux vaccins contenant des ingrédients…

  • toxiques;
  • cancérigènes; et
  • allergènes.

Vous avez bien lu.

Votre pédiatre (ou médecin) se gardera bien de vous exposer en détails les effets des additifs comme la gélatine hydrolysée à titre d’agent stabilisant, le phosphate d’aluminium, le phénol, le sorbitol, le formalin et le thimerosal (composé à 65% de mercure).

À leurs yeux, vous n’êtes visiblement qu’un animal de plus qui fait bêtement vacciner sa progéniture parce qu’il est trop bête ou lâche pour apprendre les infinies vertues d’une bonne hygiène corporelle, d’un milieu de vie et d’une alimentations tous deux exempts de contaminants et de l’importance suprême de prendre quotidiennement la dose appropriée de vitamines, de minéraux et d’oligoéléments.

Les médecins donnent au bon peuple ce qu’il réclame: une “solution” facile censée être efficace pour aider à lutter contre les dangers “potentiels” d’un pathogène documenté.

Ce que les médecins omettent généralement de dire —et ce serait très important qu’ils le fassent— c’est qu’une personne en santé demeure en santé.

Comment diantre voulez-vous qu’un pathogène vienne contaminer votre corps s’il est maintenu en parfaite santé, en tout temps?

Dans ces conditions, votre système immunitaire fonctionne à plein régime…

  • Vos muscles produisent —en abondance— les globules blancs devant vous protéger lors de l’attaque d’un quelconque pathogène afin de le tuer, dès les premier signes.
  • Votre sang circule bien et convoie tout l’oxygène nécessaire à tous vos organes.
  • Vos cellules sont en parfaite santé et votre alimentation vous procure le support nutritionnel nécessaire pour combattre et vaincre à peu près tous les pathogènes connus (et inconnus) qui pourraient vous frapper.

Prendre sa santé en main, ça implique de comprendre que son corps est unique.

Chaque Québécois, petit ou grand, doit traiter son corps comme s’il s’agissait d’un temple sacré.

Si vous abusez de votre corps, il ne pourra pas se défendre adéquatement.

En revanche, si vous vous éduquez à propos de la santé totale du corps et de l’esprit, vous aurez la connaissance nécessaire pour faire face, avec succès, à la très grande majorité des pathogènes qui auront le malheur de croiser votre chemin.

N’oubliez jamais qu’au tournant du siècle, la médecine se résumait à de l’eau, du repos, de la péniciline et de l’attention. Il y a toujours eu la médecine-boucherie pour les blessures physiquement agravantes et c’est parfait ainsi mais au-dela de ces blessures évidentes, la médecine s’en remet aujourd’hui à l’industrie pharmaceutique pour la munir en cocktails sans cesse plus questionnables pour traiter des conditions sans toutefois s’attaquer aux véritables racines de ces “problèmes”.

En fait, plusieurs médecins jouent malheureusement dans le jeu du cartel pharmaceutique en —traitant— les symptômes plutôt que de —guérir— la cause de ces symptômes.

Du point de vue des compagnies pharmaceutiques, un “client” idéal ne doit pas être trop malade parce qu’il doit continuer à gagner suffisamment d’argent pour payer son “médicament” (ou “traitement”) mais en même temps, il ne doit pas vraiment “guérir” parce qu’alors, il n’aurait plus besoin d’être “traité”… et ne rapporterait plus d’argent à ses “pushers” ou aux proverbiaux barrons qui fabriquent, publicisent et distribuent ces drogues.

La medécine naturelle (à son meilleur) agit habituellement avec finesse pour accompagner un individu assez sage pour planifier et entretenir sa santé en fonction du long terme.

La mafia médico-pharmaceutique, quant-à elle, agit dans le court-terme afin d’administrer des traitements-chocs qui procurent des effets dramatiques dans de courts lapses de temps mais qui, au passage, hypothèquent (parfois sérieusement) la santé totale du “client” qui, sans grande surprise, revient plus tôt que tard chez son médecin pour un autre mal, subtilement précipité par le “traitement” précédent.

Il y a tellement de médecins bien intentionnés et de chercheurs motivés par de nobles valeurs qu’il est pénible d’avoir à exposer cet état des choses en pensant que le moral de ces derniers (ou leur réputation) pourrait en souffrir.

Pour rétablir une saine relation entre les médecins et leurs patients, le recours systématique aux “traitements pharmaceutiques” doit cesser. Le jeu des publications scientifiques dans de prestigieuses revues, soutenues financièrement par les lobbys du médical ou du pharmaceutique, a de quoi susciter l’indignation.

Et que dire des compagnies comme Merck qui ont tué, directement ou non, des dizaines de milliers de “clients”, avec la pleine complicité (en connaissance de cause ou non) des médecins, sans qu’aucun des membres de sa direction n’ait eu à payer d’amende ou même, à aller en prison.

C’est ce genre de science-de-service beaucoup trop complaisante et tordue qui a permi l’explosion de l’autisme à 1 cas sur 150 personnes aujourd’hui, depuis la “normale historique” de 1 sur quelques milliers, il y a de cela 30 ans.

Les vaccins, en principe, ont le mérite de prévenir le système immunitaire de l’existence d’un pathogène (ou virus) en particulier avant le moment d’une attaque massive (par un virus non-inocculé, par exemple) mais voilà, ils s’accompagnent d’effets secondaires qui durent parfois toute une vie, qu’ils soient facilement perceptibles ou non.

Par exemple, plusieurs personnes ont encore mal au bras, où leur piqure de vaccin a eu lieu, de nombreuses années après la date de leur vaccination.

Est-ce que les médecins le notent?

Bien sûr que non, ils se content de “phrases en canne” comme “tu ne t’en rappelleras plus le jour de tes noces” ou d’autres bêtises du genre.

Il savent très bien que le virus inocculé est encore là, blotti bien au chaud dans le muscle et que ça met une pression indue et continuellement sur le système immunitaire et que c’est probablement la raison pour laquelle le bras fait encore mal mais bon, qu’est-ce qu’ils pourraient faire? Rien. Alors, ils banalisent la plainte de leur “client” et souhaitent qu’il apprenne à vivre avec cette nouvelle douleur, probablement pour le reste de sa vie.

C’est le même principe avec l’autisme (téléchargez ce document, en format .pdf, pour en savoir plus).

Les médecins et leurs copains des compagnies pharmaceutiques se cachent derrière un language vaseux et souvent vidé de toute validité scientifique, comme cet argument soulevé par l’Institut National de Santé Publique du Québec, trouvé dans le blogue de la réalisatrice de “Silence, on vaccine“, de Lina B. Moreco et publié, à l’origine de La Presse, en page 3 du cahier Santé, le 25 janvier 2009, qui est aussi largement utilisé dans le milieu des Agences de santé gouvernementales et qui est:

“Si on trouve plus de cas d’autisme aujourd’hui, c’est parce qu’ils sont mieux diagnostiqués.”

Lina B. Moreco indique, avec justesse, que cet argument ne tient pas la route.

Pourquoi?

Parce que si cet argument de l’INSPQ était vrai, on aurait à peu près 1 adulte sur 150 qui serait atteint d’autisme alors que ce n’est absolument pas le cas. La réalisatrice insiste d’ailleurs sur le fait que l’autisme ne disparaît pas avec le temps.

Vous voyez, en remettant votre santé entre les mains d’un médecin, vous jouez à la loterie.

Si votre médecin vous conseille comme il le ferait pour ses propres enfants, il vous dira probablement la vérité (celle que vous n’arriverez pas à croire tellement elle fait contraste avec le barrage de lavage de cerveau qui a cours, grâce aux bons soins du dupole médico-pharmaceutique) mais s’il ne fait que “suivre le protocole”, vous aurez droit à “la médecine par la peur”.

La vaccination fait partie de cette médecine basée sur la peur.

Nul besoin de dire que lors des épidémies, les conditions d’hygiène étaient à peu près inexistantes, l’alimentation de qualité et suffisamment diversifiée faisant cruellement défaut et généralement parlant, la misère humaine était omniprésente.

Ce n’est plus le cas, aujourd’hui.

De voir de beaux enfants tomber, du jour au lendemain, dans l’enfer de l’autisme à raison de 1 sur 150 m’apparaît être un grave glissement vers une situation qui ne peut être tolérée dans une société qui se dit moderne.

Les causes de l’autisme ne font pas l’unanimité, selon certains (sic).

Mais, ce qui ne ment pas, ce sont les courbes —parfaitement correspondantes— dans —tous— les pays ayant massivement vacciné les enfants, entre la montée inexorable de l’autisme et celle des vaccins.

Vous pouvez vous renseigner via ce document (en format .pdf) qui est disponible en français. Il y a aussi cet article sur le scandale de Simpsonwood et celui-ci sur l’immunité mortelle. Il y a aussi cet article, en 10 points, où le Dr Desforges parle du vaccin ROR (vous devriez d’ailleurs amener cette liste à votre pédiatre pour qu’ils vous explique pourquoi il ne vous a jamais dit toute la vérité, sur ce vaccin).

Enfin bref, fouillez un peu et vous verrez que tout n’est pas aussi “noir et blanc” que le prétendent encore de trop nombreux médecins québécois, en ce qui concerne les vaccins, le mercure et les liens aussi bien avec l’autisme qu’une myriade d’autres maladies et “conditions”.

Au lieu de dépenser des centaines de millions de NOS dollars pour acheter des vaccins qui engraissent encore davantage les compagnies pharmaceutiques, nos gouvernements devraient voir à instaurer un véritable programme de “santé publique” digne de ce nom.

Tags: vaccins, vaccination, autisme, dangers, enfants, adultes, médecins, pédiatres, thimerosal, mercure, virus, pathogènes, domaine médical, domaine pharmaceutique, duopole médico-pharmaceutique, québec, parents québécois, santé publique, santé de nos enfants

Partagez ce billet

3 Responses

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.