Une journaliste de TVA Trois-Rivières s’est rendu au skate park du Parc des Ormeaux, à Cap-de-la-Madeleine, à l’Est de Trois-Rivières, avec son caméraman pour tenter d’y capter du matériel en vue, probablement, d’un reportage-télé.
Une vingtaine de jeunes qui se trouvaient sur les lieux n’ont pas du tout aimé la visite de cette journaliste.
On se rappellera qu’à Montréal, le 6 avril 2020, TVA a dénoncé un skate park où il y avait prétendument trop de monde:
“Plusieurs enfants et des adultes se trouvaient dans un parc de Montréal, et ce, malgré les interdictions de se rassembler dans les lieux publics.
C’est avec stupéfaction que TVA Nouvelles a découvert lundi matin la présence d’une dizaine de jeunes et de leurs parents dans le skatepark du parc Jarry.
Cet endroit est pourtant interdit de fréquentation par l’arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc Extension.”
Et c’est justement le passage de TVA au skate park qui a poussé la police à fermer celui-ci:
“D’ailleurs, après l’intervention en direct de notre équipe sur le terrain, les policiers et employés du service des parcs de l’arrondissement ont ceinturé le skatepark de ruban et d’affiches.”
Alors aucune surprise que les jeunes qui se trouvaient au skate park de Cap-de-la-Madeleine n’avaient absolument pas envie de voir TVA sur les lieux.
TVA n’était pas bienvenu
Avec son véhicule lettré aux couleurs de TVA, la journaliste annonçait ses couleurs. Son caméraman a rapidement commencé à filmer les jeunes qui ont eu le bon réflexe et ont commencé à les filmer, eux aussi.
C’est d’ailleurs le clip d’un des jeune skateurs qui a été publié, via YouTube:
Ce jeune qui a filmé l’échange a immédiatement contextualisé en dénonçant la journaliste pour ce qu’elle est, à savoir une agente de propagande de peur. À juste titre puisque TVA agit en ennemi des Québécois en multipliant les peurs pour sensationnaliser leurs reportages.
On a même entendu “Fuck TVA!” et encore une fois, c’est de bon ton devant un média-poubelle aussi honteux que TVA qui mange dans l’auge puante des subventions aux médias choisis par Justin Trudeau pour ne jamais dévier de la propagande de l’État.
TVA a donc envoyé une journaliste dans un skate park en pensant, fort probablement, pouvoir y montrer des jeunes sous un jour défavorable mais voilà, ces jeunes ont tenu tête à cette journaliste aux intentions probablement malveillantes (tout comme à Montréal, aucune raison de croire que le “plan de match” était différent).
Une autre jeune a ajouté que TVA, “c’est juste des fake news” et encore une fois, c’est rigoureusement vrai si on assimile la propagande unilatérale de l’État à des fausses nouvelles.
Ce n’est donc pas surprenant qu’une journaliste de TVA n’ait AUCUN RESPECT de la part d’honnêtes citoyens, fussent-ils jeunes, qui prennent du soleil en faisant du skate. Le tout, en respectant leurs distances.
Dehors TVA
Le caméraman de TVA a compris plus vite que la journaliste qu’ils n’étaient absolument pas les bienvenus sur les lieux.
Les jeunes sont restés courtois mais fermes dans leur opposition à la présence de ces collaborateurs-pro-dénonciation-policière-à-outrance. Le caméraman de TVA serait parti plus vite si ça n’avait été de l’insistance de la journaliste de TVA de vouloir jouer à la “petite police” en essayant de coincer les jeunes pour leur faire dire qu’ils ne devraient pas se trouver au skate park. De la manipulation sale, signée TVA.
Heureusement, les jeunes qui ont répondu à la journaliste ne sont pas tombés dans son piège.
La journaliste en infraction
TVA n’étant pas un service essentiel et la journaliste étant arrivée (et repartie) dans le même véhicule que son caméraman, à moins que les deux n’aient été conjoints et qu’ils habitent à la même adresse, ces deux individus s’exposent à être mis à l’amende pour avoir violé leur impératif de distanciation sociale.
La police de Trois-Rivières interviendra-t-elle pour mettre cette journaliste et son caméraman à l’amende?
Sûrement pas, les collaborateurs de la police, comme TVA, ont assurément droit à leur clémence mais quand même, les jeunes avaient raison de les dénoncer, en regard des règles en vigueur.
La police de Trois-Rivières ne devrait d’ailleurs plus avoir de droit de mettre qui que ce soit à l’amende pour des questions de distanciation sociale tant que ces deux contrevenants n’auront pas reçu (et payé) leur amende, au complet et personnellement.
Masque, pas de masque
Dans un commentaire du clip, dans YouTube, quelqu’un remarque que la journaliste avait un masque dans les mains, tout au long de l’échange avec les jeunes.
Elle ne l’a donc pas mis, incluant lorsqu’elle s’est approchée (à plusieurs reprises) à moins de 2 mètres des jeunes.
La journaliste de TVA avait probablement l’intention d’enfiler son masque au moment du reportage pour prouver aux téléspectateurs qu’elle est arrivée là préparée et qu’elle suit toutes les consignes, formelles ou pas.
Mais voilà, elle aura passé 100% de son temps sur place, au skate park, avec son masque… dans sa main.
Et que dire de son caméraman qui, lui, ne semblait avoir aucun masque.
TVA qui ne peut s’empêcher de dénoncer
On entend la journaliste tenter de provoquer le groupe en disant “là, on est un attroupement” et ça e prend que quelques secondes pour qu’elle ajoute “on va appeler la police”.
Wow… de toute beauté.
Une journaliste de TVA qui se cherche des excuses pour pouvoir menacer des enfants et des adolescents d’appeler la police.
En agissant tantôt comme une provocatrice et tantôt comme une collaboratrice de la police, cette journaliste prouve, une fois de plus que TVA n’est qu’un nid de vipères à la solde de la propagande de l’État.
Cette journaliste qui a elle-même violé les règles de distanciation sociale, auprès d’enfants, en plus, ose utiliser la menace pour tenter (sans succès) de contraindre ces mêmes enfants à lui consentir de l’attention et peut-être même, du matériel pour son reportage.
C’est à lever le coeur et il faut se féliciter, au Québec, que certains de nos jeunes, comme ceux-ci, à Cap-de-la-Madeleine, aient tenu tête à cette journaliste malveillante qui ne tentait de s’imposer pour provoquer afin de créer, en quelque sorte, sa nouvelle.
Si vous voulez un exemple de journalisme sale signé TVA, en voilà un autre exemple.
Les citoyens doivent continuer à dénoncer TVA pour exposer son vrai visage. Celui de journalistes, ennemis du peuple québécois.