Prière islamique à Toronto

Le piège du multiculturalisme de Justin Trudeau

Pour le reste de la planète, Justin Trudeau donne dans la jeunesse, le discours liché, les selfies et même la santé physique avec ses nombreuses démonstrations de boxe.

Pour le peu qu’ils connaissent de lui, les étrangers qui le voient, de loin, croient qu’il est charmant et représentatif d’une vision un peu fleur bleue du Canada.

À la mi-quarantaine, il est marié avec trois enfants alors implicitement, il envoie l’image d’un homme de famille, ce qui est payant, politiquement. Le problème n’est donc pas dans l’image qu’il a su forger mais bien dans son jugement, en regard de situation sensibles, au Canada.

On pourrait parler des (plus de) 30 milliards de dollars qu’il a choisi d’ajouter à la dette du Canada qui atteindra bientôt les 1,5 billions (“trillions”, en anglais) de dollars ou encore, on pourrait s’étendre sur son obsession pour l’importation expéditive et grossière de 25,000 réfugiés syriens qui n’étaient absolument pas en danger de mort mais plutôt bien installés en Jordanie, dans leur maison ou leur appartement (c’est pourquoi ils arrivaient ici avec des iPhone à la main, en portant de beaux vêtements signés) mais on va parler de quelque chose de bien plus fondamental qu’il a appris de son père, à savoir le multiculturalisme.

Multiculturel et socialement toxique

Qu’importe votre définition du fait multiculturel au Canada, la définition sur le terrain relève de l’évidence.

Au Canada de Justin Trudeau, le multiculturalisme se veut tellement inclusif qu’il ne requiert aucune intégration. L’idée de Pierre-Elliot Trudeau, le père de Justin, allait dans le sens de dire “qui sommes-nous pour juger les autres?” alors s’ensuivent les politiques fédérales qui permettent que les multiples cultures vivent selon leurs propres références.

C’est pourquoi après avoir accueilli de millions d’immigrants au Canada, certains se sont vraiment bien intégrés parce qu’ils voulaient vivre autre chose que dans leurs pays (qu’ils ont quitté) et d’autres, plus récemment, ne se sont pas intégrés du tout, reproduisant ici une version réduite du pays qu’ils ont pourtant quitté.

Dans le Canada multiculturel de Justin Trudeau, c’est tout à fait acceptable et bienvenu de ne PAS s’intégrer à la société d’accueil. Après tout, qui sommes-nous pour “juger” une autre culture, pas vrai?

Vous voyez le genre de pente glissante sur laquelle nous amène Justin Trudeau?

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En nous empêchant de faire appel à notre bon jugement, voire à notre sens moral, au nom du multiculturalisme et de son ouverture naive à toutes les cultures, incluant celles qui ne cadrent aucunement avec la nôtre, Justin Trudeau se trouve à défendre l’indéfendable.

Par exemple, Justin Trudeau répète qu’il n’y a aucun lien en l’Islam et le terrorisme, à travers le monde. De dire cela, selon lui, reviendrait à de l’islamophobie. Même si vous voyez l’énorme problème avec cette directive gouvernementale émanant directement du dogme du multiculturalisme, Justin Trudeau continue de se mettre la tête dans le sable pour défendre l’indéfendable et désormais, il le fait au nom de tous les Canadiens, ce qui créé du ressentiment parmi plusieurs groupes de la société, incluant des Musulmans qui savent très bien qu’il y a des franges radicales qui observent un Islam interprété à la faveur et pour la glorification du terrorisme, via un jihad prononcé publiquement contre l’Occident et tous les “infidèles” qui s’y trouvent (c’est de nous dont on parle, ici).

Et s’il n’y avait que ça. Il y a aussi l’affaire du crime d’honneur commis par Mohamed Shafia (58 ans) et de Tooba Mohamed Yahya (41 ans) ainsi que le fils Hamed (20 ans) qui, en 2009, à Kingston, en Ontario, ont tué par noyade dans la voiture familiale les sœurs Zainab (19 ans), Sahar (17 ans) et Geeti Shafia (13 ans) ainsi que leur mère, Rona Amir Mohamed (50 ans).

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Ce crime d”honneur a marqué l’imaginaire des Canadiens et a exposé l’immense danger de la philosophie toxique de la Charia, la loi islamique utilisée par Mohamed Shafia pour (tenter de) justifier ses meurtres (au nom d’Allah).

Le lien avec Justin Trudeau? Vous rappelez-vous ce qui l’a offusqué le plus, au moment où se déroulait le procès (en 2012) pour cette affaire? C’est le fait que l’horrible geste du père Shafia avait été qualifié de barbare parce qu’ici, les crimes d’honneur n’ont pas leur place. En grand défenseur du multiculturalisme, à la Chambre des communes, à Ottawa, Justin Trudeau était hors de lui-même parce qu’un autre député avait dénoncé l’idée du crime d’honneur, dans l’Islam, ainsi que la mutilation génitale et les mariages d’enfants comme étant ni plus, ni moins que de la barbarie (“le type de barbarie dont nous n’avons pas besoin, au Canada”). Ce qui est rigoureusement vrai, au Canada. Mais Justin Trudeau (avant d’être premier ministre) avait rétorqué, avec son air dégouté “how dare you use the word barbarism in describing other people’s culture?” ou en français “comment osez-vous utiliser le mot barbare pour décrire une autre culture?”.

Ça avait vraiment déstabilisé tout le monde de constater que ce qui choquait Justin Trudeau, ce n’était pas le meurtre prémédité de 4 femmes mais bien le fait que le geste, associé par les meurtriers eux-mêmes à l’Islam, soit qualifié de barbare.

Ou par extension, que Justin n’était pas vraiment atteint par la mutilation génitale des petites filles ou les mariages (forcés) d’enfants (qui sont vendus à des pédophiles, reconnus pour leur tendance au sadisme, contre les enfants) mais par le fait qu’un autre député, à la Chambre des communes avait qualifié ces pratiques de barbares.

Vous ne trouvez pas ça bizarre que Justin Trudeau soit aussi indifférent à des comportements aussi déviants?

Qu’il vole au secours des petites sensibilités des barbus mais qu’il abandonne complètement à leur sort les victimes de la Charia?

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Pour quiconque se sert de son jugement, couper le clitoris des petites filles pour les empêcher d’avoir du plaisir sexuel afin de laisser ce privilège à l’homme, exclusivement, tient de la barbarie.

C’est d’une évidence limpide mais pas pour Justin Trudeau dont le cerveau carbure au multiculturalisme. Pour lui, tout se justifie par le contexte culturel où ça a lieu. Même si c’est de la barbarie, il ne faut jamais désigner ainsi un acte qui nous paraît barbare parce qu’en d’autres lieux, ça constitue “la norme”.

Bêtise

Ça prend des gens qui partagent des valeurs communes et qui acceptent de s’intégrer pour former une société cohérente. Le Canada a pu tolérer le multiculturalisme jusqu’à un certain point mais lorsque les Musulmans ne viennent plus ici pour vivre une vie meilleure mais bien implanter leur idéologie, leurs mosquées et leurs minarets dans notre vie, pour la gloire d’Allah et non pour l’avancement de la société canadienne, là, ça ne fonctionne plus et le multiculturalisme, tout spécialement sur ce front, devient un énorme problème pour toute la société. Incluant pour les immigrants (incluant les Musulmans) qui ont choisi de s’intégrer pour avoir, au Canada, une vie différente de celle dans leur pays.

Pour les Musulmans qui veulent importer la Charia ici, le Canada n’est qu’un nouveau front pour leur jihad mondial. Et le multiculturalisme de Justin Trudeau leur sort le tapis rouge en prétendant, à tort, que les idées tordues des bédouins du désert arabique, au 7e siècle, sont correctes parce qu’elles sont “la norme” pour d’autres cultures. Et bien non! Ces idées, incluant les châtiments corporels, l’esclavage, la pédophilie, la violence permanente contre les femmes, la terreur et l’obsession religieuse qui justifie tous les excès commis par des hommes n’ont PAS leur place, au Canada. En toute logique, on peut même ajouter qu’elles n’ont pas leur place dans les autres pays, non-plus. Mais ça, ce n’est plus de notre ressort, à part pour dénoncer, haut et fort, ce qui a toutes les caractéristiques de la barbarie. Cette barbarie qui ne sera jamais la bienvenue, au Canada. Sauf lorsque c’est Justin Trudeau qui ouvre la porte, toute grande, en faveur de ces dérives idéologiques, pour demeurer fidèle au multiculturalisme de son père.

Régresser

Au lieu de faire progresser la société canadienne, la “tolérance” de l’Islam radical et de sa loi islamique, la Charia, nous fait régresser.

Nous sommes continuellement en conflit avec cette vision pro-Allah du monde où les femmes sont “sous-humaines” et n’ont même pas droit aux égards que recevrait un chien! Dans l’Islam, tel que valorisé par les imams plus radicaux, ici et par tous les imams, en Arabie Saoudite, la femme ne sert qu’à assouvir les pulsions sexuelles de l’homme. Et lui obéir, en tout temps et en toutes choses.

La femme musulmane vous désobéit? La Charia vous donne le droit de la battre jusqu’à ce qu’elle vous obéisse, au doigt et à l’œil. Sérieusement, ça tient de la maladie mentale, cette vision des relations hommes-femmes.

En s’accrochant à son multiculturalisme, c’est ça (et bien d’autres perversités) que Justin Trudeau défend.

Dans ce monde en plein mutation, avec 1,5 milliards de Musulmans (radicalisés ou non, selon le contexte dans lequel ils évoluent), le Canada a besoin de citoyens qui exercent leur bon jugement pour se questionner à propos des pratiques culturelles de ceux qui sont accueillis ici.

Les Canadiens ont raison d’être très contrariés par le plan d’accélération du multiculturalisme que Justin Trudeau travaille à leur enfoncer dans la gorge.

Certaines cultures (pour ne pas dire à peu près toutes les cultures) s’intègrent vraiment bien, au Canada.

Le problème, c’est l’Islam radical et même les Musulmans modérés qui sont ici sonnent l’alarme parce qu’ils n’ont vraiment pas envie d’importer la barbarie, dans leur pays d’adoption.

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Et voilà que Justin Trudeau fait fi du principe de précaution, qui sert normalement à protéger les Canadiens et leur culture (cette culture plus évoluée qui a dit NON à toute forme de barbarie) et n’écoutant que lui-même (et sa garde rapprochée, rompue aux prétendues vertus du multiculturalisme), accueille des migrants pro-Charia (ou secrètement en faveur de celle-ci) qui viennent ici dans le but, souvent avoué, de déstabiliser notre société pour y créer les conditions gagnantes à l’établissement et à la montée de la Charia.

Vous voulez vraiment vivre dans une société où la loi islamique va avoir “force de loi”? Notre système juridique n’est pas parfait (loin de là) mais il n’est absolument pas inscrit dans le même registre de barbarie que la Charia.

Ouverture

Les valeurs canadiennes peuvent évoluer, au contact des autres cultures mais dans tous les cas, il faut qu’on avance, pas qu’on régresse. On doit prendre ce qu’il y a de mieux et se distancer de ce qu’il y a de pire.

De penser que Justin Trudeau veut pousser son multiculturalisme jusqu’à ouvrir grand les bras à la Charia devrait vous poser un énorme problème.

Si vous ne vous manifestez pas maintenant, contre le multiculturalisme et pour l’intégration harmonieuse de nos immigrants, vous risquez de léguer une société canadienne devenue invivable, pour nos enfants, incluant les Musulmans qui pourraient retomber (de par leur adhésion à l’Islam) sous le joug de cette loi islamique barbare qui attaque presque toutes les valeurs (plus évoluées) qu’ils auraient pu intégrer à leur vie, en tant que Canadiens.

Soyez cohérents et honnêtes avec vous-mêmes. Si vous voyez de la barbarie, dénoncez-la et ne faites pas comme Justin Trudeau, qui invoque le multiculturalisme pour défendre ce qu’aucune personne saine d’esprit ne voudrait défendre.

Si vous pensez que mutiler les parties génitales des petites filles et de fouetter les femmes n’est pas barbare, selon les valeurs Canadiennes, vous êtes un psychopathe même si en Arabie Saoudite, vous êtes “un bon Musulman”.

La culture, au sens premier, c’est de la bouillie pour les chats. Ce qui compte, c’est le comportement humain. Certains comportements sont acceptables et d’autres ne le sont pas. Même si c’est acceptable de manger des humains ailleurs, ça ne l’est pas ici. Le comportement humain doit prendre préséance sur la culture et surtout, sur la dérive de Justin Trudeau avec son multiculturalisme.

Il faut arrêter d’avoir peur d’affirmer notre droit à une société exempte de barbarie parce qu’on a peur d’offusquer les Justin Trudeau de ce monde qui essaient de nous faire passer pour normal des comportements humains qui ne le sont tout simplement pas.

 

 

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