Et si le problème du COVID-19 avait été pris à l’envers?
Des voix s’élèvent et pas n’importent lesquelles: des médecins, de plus en plus nombreux, en France et dans le monde.
Ils affirment qu’il faut traiter la cause et non-pas ses effets.
C’est tellement fabuleusement intelligent et logique qu’on se demande comment l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ainsi que les moutons des “agences de santé publique” du monde occidental (et ailleurs) ont pu reprendre leur mantra, sans réfléchir.
Mais bon, la mondialisation a ses collaborateurs-mondialistes, comme Horacio Arruda, au Québec, avec sa “pin” de l’Agenda 21, véritable plan de match pour le “développement durable” ou dit autrement, l’élimination des humains, sur Terre alors aucune surprise de voir qu’au Québec, la “santé publique” est un copié-collé des directives onusiennes, à travers l’OMS dirigée par le Somalien (très controversé) Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Et ne vous inquiétez pas, Tedros est un ardent défenseur de l’Agenda 21, lui aussi:
Tedros défend l’Agenda 21, tout comme son patron (via ses gigantesques “contributions” à l’OMS) Bill Gates, qu’on voit ici avec sa “pin” de l’Agenda 21, lui aussi:
Ces collaborateurs de l’Agenda 21 mondialiste font tous partie du même “club”… et vous n’en faites pas partie.
Écoutez Laura Lynn Tyler Thompson qui explique pourquoi le Dr Anthony Fauci devrait immédiatement être démis:
Prenez conscience des outils pervers de l’ennemi:
Bon, le point est clair!
On continue…
Avouez que la logique la plus élémentaire serait de traiter la cause, pas d’obséder sans fin sur ses effets.
Mais bon, on se doute qu’en évitant soigneusement de traiter la cause, l’OMS et ses suiveux atteignent un niveau de peur bien plus élevé dans la population. Ça aide leur agenda d’introduction d’un vaccin, lorsqu’ils jugeront que les moutons sont assez désespérés pour accepter n’importe quoi, trop aveuglés par les effets et inattentifs à la vraie cible que personne ne mentionne (dans les “grands médias”), à savoir LA CAUSE.
Pour encore plus de détails, lisez cet excellent billet sur ce sujet.
Vivement, faire triompher l’intelligence
Vous n’avez pas besoin d’être médecin pour comprendre qu’en réglant la cause, vous gagnez, qu’importe la pathologie.
Des médecins de New York, de Bologne, de Grenoble et d’ailleurs (incluant en Afrique qui cultive l’artémisia, cette spectaculaire plante anti-paludique qui avait été largement mentionnée [favorablement] dans le film Pandémie, dans Netflix [où il était clair que c’était incroyablement plus efficace que n’importe quel vaccin]) constatent des choses très simples.
Par exemple, chez leurs patients, le COVID-19 provoqué par le virus SARS-CoV2 ne créé pas de SDRA (Syndrome de détresse respiratoire aigu) mais bien un trouble hypoxémique d’origine vasculaire, à savoir un manque d’oxygène dans le sang, d’origine vasculaire par thrombo-embolies diffuses. Autrement dit, des “caillots” dans les vaisseaux.
C’est comme si les patients étaient subitement dans un avion à 9,000 mètres d’altitude et que la pressurisation de la cabine diminuait progressivement, a déclaré un médecin urgentiste, responsable d’un centre COVID-19 à New-York.
Dr Cameron Kyle-Sidell
Les patients sont lentement privés d’oxygène.
Vous pensez que le Dr Kyle-Sidell est seul?
Absolument pas.
C’est le même raisonnement de la part du professeur Sandro Giannini, à Bologne, dans la région d’Émilie-Romagne, au nord de l’Italie.
Il explique que “la cause de la mortalité des patients COVID positifs serait due à une thrombo-embolie veineuse généralisée, principalement pulmonaire”.
Si tel était bien le cas (et c’est ce qui semble être avéré pour quiconque réfléchit deux secondes de plus que l’OMS), il faudrait admettre que “les intubations sont inutiles, puisqu’il faut d’abord dissoudre ou prévenir les thrombo-embolies” et en effet, il est inutile de ventiler un poumon si le sang n’arrive pas… au poumon.
Neuf personnes ventilées sur dix meurent, d’après le professeur Giannini car le problème est cardio-vasculaire et non pulmonaire.
Boom!
L’OMS est tellement démasqué dans sa malveillance, sa mauvaise gestion et ses manigances pour justifier l’unique pseudo-solution vaccinale que ça en devient spectaculaire malaisant.
Ça n’empêchera pas l’OMS et Horacio “Tartelettes portuguaises” Arruda (le collaborateur de l’Agenda 21 de l’ONU, rappelons-le) de continuer sur la même cassette des “effets” pour mieux ignorer (sciemment) la CAUSE mais avec un rappel comme celui-ci, la population québécoise voit de plus en plus clair.
Il reste à comprendre pourquoi les caillots de sang se forment chez les patients atteints du COVID-19 mais justement, ce serait le temps de revenir à des remèdes simples, tirés tout droit de la médecine naturelle, pour tous les Québécois qui en ont besoin.
Le Dr Alan Mandell, DC propose un mélange à base de thé vert, de citron frais, de gingembre, de menthe (avec du menthol naturel) ainsi qu’un peu de miel et ça se préparait facilement, à grand volume, dans les cuisines des hôpitaux.
Avec un absolu minimum de réelle volonté d’aider les patients québécois. Pour vrai.
Aucune chance que le Collège des médecins du Québec (CMQ), sous la lourde botte de la pharmafia qui, bien entendu, obsède sur l’illusoire vaccin neuro-toxique qu’elle sortira de son chapeau pour avoir l’air d’un sauveur, après que les collaborateurs politiques et médiatiques auront maintenu la population québécoise dans l’ignorance (de la réelle solution) et dans la peur (pour que les moutons demandent un vaccin aux loups… et paient pour, au prix le plus élevé possible et avec des rappels annuels, pour toujours).
Voir dans le jeu des ennemis du peuple québécois
C’est très grave ce qui se passe, en ce moment, au Québec.
Des centaines de milliers de Québécois prennent conscience que les injections de hautes-doses de vitamine C fonctionnent, à merveille. Zéro effet secondaire négatif et rétablissement assuré, en quelques jours.
Et le zinc, cet oligoélément qui protège de manière spectaculaire notre système immunitaire.
Les médecins allopathiques, aux ordre du Collège des médecins du Québec, n’en parlent JAMAIS. Pas un mot. La complicité totale avec l’ennemi pharmaceutique (et vaccinal, qu’importe la neuro-toxicité du mélange qui sera forcé sous la peau des moutons assez bêêêêtes pour laisser faire les loups).
C’est scandaleux que les médecins du Québec se taisent à propos de la quercétine que le chercheur Michel Chrétien, qui dirige une équipe à l’origine d’une découverte prometteuse, a pourtant présenté à Radio-Propagande… ça reste dans le circuit des “recherches” alors que les morts continuent de défrayer les manchettes. Où sont les médecins capables de réfléchir, pour le bien de leurs patients?
- Vitamine C, à petite dose de manière préventive ou à haute-dose, par voie intraveineuse pour un traitement en milieu hospitalier;
- Zinc, cet oligoélément qui participe à la quasi-totalité des processus cellulaires; et
- Quercétine, ce flavonoide dont le principal étant de renforcer la paroi des capillaires (les plus petits vaisseaux sanguins) et de réduire leur perméabilité.
Est-ce si difficile à comprendre?
Et nos médecins sont-ils encore capables de voir la réalité par-delà les ordre exclusivement et obsessivement allopathiques du Collège des médecins du Québec?
Il faut se poser de très, très sérieuses questions sur le système médical en place parce que plus on s’y intéresse, plus on voit le jupon mondialiste, malveillant et menteur qui dépasse.
Et on distingue mieux qui sont les collaborateurs des mondialistes, au Québec.
Prenez des notes.
Les ennemis de votre santé, ce sont les loups qui hurlent à TV-Ah et à Radio-Propagande qu’il faut cesser d’exister pour satisfaire aux directives sans cesse plus totalitaires des non-élus de l’ONU (ces étrangers qui se permettent de nous dire quoi faire, sans jamais nous consulter)… et leurs collaborateurs qui amplifient leur message, localement.
Cette excellente entrevue, en anglais, explique justement que ce qui se passe avec le recours obsessifs aux respirateurs, dans les hôpitaux américains pourrait causer des morts, inutilement. Imaginez si c’était vous!
Finalement, des images pour vous faire réfléchir à ce qu’on vit, en ce moment.