Ce que votre oncologue ne vous dira jamais

Certains appellent l’oncologie la “cancérologie” puisqu’au cours des dernières décennies, le cancer est devenu une affaire très payante pour une vaste nébuleuse d’intervenants.

Parmi ces nombreux intervenants, les Québécois atteints du cancer finissent généralement par rencontrer un oncologue en qui ils placeront toute leur confiance. Mais est-ce vraiment intelligent de faire confiance à des individus prétendument éduqués pour protéger notre santé mais qui, dans les faits, ne font que soulager les symptômes du mal plutôt que la source-même de ce mal?

Il faut savoir que l’oncologue québécois n’est à peu près jamais au réel service de ses patients puisqu’il doit se plier aux décisions qui ont été prises, pour lui, au Collège des médecins du Québec qui prétend, à peu de choses près, connaître le fin-mot de chaque histoire ayant trait à la santé publique — et ce n’est, bien sûr, qu’une illusion savamment entretenue par les différents tenants du puissant duopole médico-pharmaceutique qui gagne des dizaines de milliards de dollars par année à maintenir les Québécois dans un état permanent de maladie plus ou moins invasive et persistante.

Au Québec, il n’est pas question de tuer les gens malades trop vite — simplement de les garder sous traitement ou sous médication le plus longtemps possible en prenant bien soin de ne JAMAIS les éduquer à propos des alternatives de santé naturelle car là, le duopole médico-pharmaceutique ne domine pas (encore) le marché (ou l’approvisionnement).

Regardez la société, froidement.

C’est l’argent qui mène tout. Vous croyez que c’est différent, en santé?

Si vous avez le cancer ou connaissez un proche atteint de cette condition, il est temps pour vous de sortir de la matrice du mensonge des oncologues (et de leurs complices) pour reprendre les rennes de VOTRE SANTÉ.

Par exemple, connaissez-vous le curcuma?

Cette plante qu’on trouve habituellement dans le sud de l’Asie a des propriétés anti-cancéreuses remarquables. Vous devez savoir que votre ADN passe par de nombreux stades de dégradation (plus ou moins perceptibles) avant d’en arriver au cancer (sur le cours de plusieurs mois ou années). Ce que vous devez savoir, c’est que le curcuma inhibe le processus en entier (et à chacune de ces “étapes”). C’est incroyablement efficace pour prévenir le cancer.

Mais ce n’est pas tout car même si vous avez déjà le cancer, le curcuma freine (et arrête, plus souvent qu’autrement) la progression des cellules cancéreuses qui auraient pu échapper à son action. Et même si vous développez un cancer plus avancé, le curcuma empêchera les métastases (soit la dispersion du cancer à différents endroits du corps).

Wow! Et re-wow!

Imaginez si tous les oncologues du Québec se mettaient à prescrire… du curcuma!

Ça ne nous coûterait presque rien, via l’assurance-maladie (de 100 à 10,000 fois moins que les chimiothérapies, radiothérapies et chirurgies) et il n’y aurait AUCUN EFFET SECONDAIRE. Mieux encore, le curcuma attaque LA SOURCE DU MAL soit les cellules défectueuses (ou cancéreuses) et par le fait-même, diminue ou élimine les SYMPTÔMES du cancer.

C’est absolument génial et plus vous lirez sur le curcuma, plus vous voudrez en ajouter à TOUS vos repas (en plus, c’est délicieux).

Mais est-ce que les oncologues québécois parlent du curcuma à leurs “patients”?

Apparemment, jamais.

L’obscurantisme pseudo-scientifique à son meilleur!

Il faut dire qu’un oncologue n’arrivera pas à se payer une troisième voiture de luxe pour aller à son deuxième chalet s’il “prescrit” à ses patients de prendre beaucoup de curcuma parce que là, il ne fera plus d’argent avec les coûteuses chimiothérapies, radiothérapies et chirurgies qui, pour l’essentiel, ne sont que des séances de tortures qui n’adressent que les symptômes du mal et qui, dans les faits, ne font que repousser l’inévitable… c’est vraiment décourageant de voir que c’est l’argent qui importe plus que tout le reste, pour les oncologues et ceux qui les assistent, sans remettre —quoique ce soit— en question.

Et ne demandez surtout pas aux riches oncologues de vous parler du bicarbonate de soude (à 5% dans une solution saline), de la vitamine C, D3 et E. Surtout pas, ils ne voudraient pas vous donner l’impression qu’autre chose que leurs coûteuses “solutions” pourraient vous sauver.

Même chose pour l’ail, les oignons (des bactéricides d’une très grande puissance), l’iode, l’argent colloïdal et ionique (pour les cancers du sang) et des centaines d’enzymes contenus dans les aliments complets qui “activent” le plein potentiel vitaminique contenu dans notre alimentation. Non. Pour les oncologues, c’est l’agenda de la maladie. Ils ne veulent pas GUÉRIR leurs “patients”, ils veulent s’en servir pour s’enrichir en les “traitant” ou en les “médicamentant” (ou les deux).

Il y a sûrement, malgré tout, des oncologues honnêtes, dans le lot.

Cependant, on ne les entend pas sortir publiquement pour venir vanter les mérites d’une alimentation anti-cancer ou encore, très peu. Il faut que ça change mais le changement ne viendra PAS des oncologues puisqu’ils font des fortunes en profitant du manque relatif de connaissance des Québécois, en matière de prévention et de traitements effectifs contre le cancer (sans effets secondaires, bien sûr).

L’humain doit détrôner l’argent en tant que “priorité”, pour les oncologues du Québec.

La “party” pro-empoisonnement (par chimio ou radio “thérapie”), pro-boucherie (lors des chirurgies, trop souvent inutiles) et pro-effets secondaires doit cesser (ou être réduit au strict minimum pour des cas d’exception où il n’existe absolument aucune autre alternative). C’est le mal qu’il faut traiter (à savoir, les cellules anormales [ou cancéreuses]) et les symptômes perceptibles disparaîtront (parce qu’en guérissant le mal, à la base, on élimine immédiatement les symptômes).

Faites vos recherches et vous trouverez des DIZAINES d’autres aliments incroyablement efficaces pour prévenir et guérir le cancer et ce ne sont pas les oncologues qui vont faire votre éducation, malheureusement.

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5 réponses

  1. Bonjour M. Gélinas,

    Très intéressant et je suis en accord avec vous.

    Une réforme est à faire dans tous les systèmes que ce soit judiciaire, santé , éducation, etc…dominés par des intérêts financiers, non efficaces, ni rentables pour les fonds publics. Avec l’argent du peuple, on devrait il me semble servir le peuple !

    Il y a beaucoup à refaire… ça doit changer et j’ai espoir que ça changera.

    De nouvelles consciences s’installent et feront leurs places. Il faut conserver nos points de vue pour faire évoluer les choses. C’est long mais ça avance, selon moi.

    Merci pour ces articles intéressants.

  2. Merci pour votre commentaire, Carolyne!

    Au Québec comme ailleurs, les oncologues ne sont pas tous animés par la même qualité de fibre morale.

    Alors que les uns s’enorgueillissent de ce qu’ils sont devenus (riches et puissants, dans leur sphère d’action), d’autres comprennent la nature beaucoup plus subtile de leur travail où la finesse et l’humilité demeurent de bon ton.

    Non, les oncologues ont beau se suivre, ils ne se ressemblent pas tous.

    Pour changer les choses, je propose qu’on exerce davantage notre jugement lors du choix d’un oncologue et ce, dans la mesure où il est possible de le faire.

    En choisissant systématiquement des individus qui respectent le corps humain et se mécanismes d’une infinie subtilité, nous ouvrons la porte à une médecine centrée sur la guérison réelle du patient et non sur une médecine clinique obsédée par le traitement des symptômes sans réel égard à la source de ceux-ci.

    Je fais partie de ceux qui nourrissent l’espoir que le barrage actuel d’oncologues narcissiques, bornés et adeptes des traitements invasifs vont finir par prendre exemple sur des collègues plus à l’écoute des gens qu’ils guérissent (par opposition à “traiter”).

    Ça a davantage de chances de se produire si les gens exigent de leur oncologue qu’il cesse de se limiter à la médecine allopathique pour s’ouvrir à toutes les formes de thérapies susceptibles de guérir la personne malade, de manière durable et en affectant le moins possible sa qualité de vie.

    Je suis heureux de voir, chère Carolyne, que vous avez, vous aussi, l’espoir de voir les choses aller pour le mieux. Cela vous honore car vous êtes capable de voir ce qu’il y a de bon même chez ceux qui, pour diverses raisons, ne vont pas toujours dans le meilleur intérêt de la personne malade.

    Les mauvais oncologues peuvent changer.

    Mon billet a pour but de réveiller les gens à l’absurdité de la manière dont les cancers (ou plutôt, les “effets” du cancer) sont “combattus” (ou “traités”, c’est selon).

    Plus les gens seront informés à propos des nombreuses alternatives aux “traitements” invasifs, plus ils auront une influence décisive —et positive— sur leur oncologue qui, pour l’heure, fait à peu près ce qu’il veut tant les connaissances d’usage de la médecine naturelle (pour ne nommer que celle-là) font défaut, dans la population, en général.

    Et pour terminer, Carolyne, je vois une lueur d’espoir à chaque fois qu’une personne soigne son alimentation et son mode de vie afin de prévenir plutôt que de guérir.

    Ce type de logique à long terme devrait d’ailleurs être étendu à presque toutes les sphères de notre société moderne…

  3. Bonjour!

    Je vis exactement ce à quoi vous faites référence. Je me traite depuis 2 ans avec des méthodes douces pour un cancer du sein. Les médecins que j’ai rencontré me prennent tous pour une folle suicidaire.

    Je ne crois pas que les oncologues que j’ai rencontré soient malhonnêtes, je crois qu’ils sont profondément ignorants. Ils ont le cerveau lavé par l’information “scientifique” dont les compagnie pharmaceutiques les abreuvent. Je leur parle de personnes qui se sont guéries par des méthodes naturelles et ils me disent que ça n’existe pas.

    Vous dites qu’il existe des oncologues honnêtes (selon vous) mais moi je les qualifierait plutôt d’ouverts et renseignés. Ma question : en connaissez-vous? J’en cherche un désespérément!

  4. Vous avez raison, des commentaires d’une grande sagesse. Pourquoi ne pas y avoir pensé plus tôt, du curcuma pour tout le monde et plus besoin des oncologues! Wow et rewow, vous avez bien raison! Le cancer persiste en raison de l’avidité des oncologues? N’IMPORTE QUOI! De la démagogie pure et simple… Qui sont les réels ignorants

  5. Qui croire en ce monde ?……..Il y a plusieurs sorte médecin compétant ou pas….Mais il y a aussi des charlatan en ce monde avec des opinions et des supposés produis miracle qui on fait mourir plusieurs gens.

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